Blog du FC Horbourg-Wihr

lundi 29 mars 2010

40 ans ce lundi

C’est ce lundi 29 mars 2010 qu’on fête officiellement le 40e anniversaire de la création du foot féminin en France :
Photo : La FFF a conçu un logo pour le 40e anniversaire de l’officialisation du foot féminin en France.


Non pas qu’il ait fallu attendre le 29 mars 1970 pour assister aux premières rencontres féminines, certaines s’étant déjà déroulé avant guerre, mais il s’agit de la date à laquelle le Conseil Fédéral de la FFF a autorisé la pratique féminine et l’a rendue officielle. Le premier match de l’équipe de France féminine a eu lieu, quant à lui, le 17 avril 1971, avec un succès sur les Pays-Bas. Pour fêter cet anniversaire, la FFF a conçu un logo et prévu une grande fête qui aura lieu le 23 mai prochain à Evry-Bondoufle en banlieue parisienne. Sur le même terrain auront lieu les finales du Challenge de France féminin et de la coupe nationale des U15, le tout en présence d’Adriana Karembeu, qui « marraine » la manifestation.
 
Marraine de la fête des 40 ans du football féminin, Adriana Karembeu s'est encore engagée plus durablement pour cette cause, en tant qu'ambassadrice du football féminin. Comme telle, celle-ci sera amenée à se rendre à des matches, des rassemblements de masse, des événements en région, des visites de clubs ou d'écoles de football au féminin. Son message portera sur l'intérêt de la pratique féminine et de la nécessité d'intégrer les femmes dans toutes les structures et à tous les niveaux :


Toutes les internationales depuis 1971 seront également invitées à cette journée.

(C) LAFA 2010 - Stéphane Heili

mercredi 17 mars 2010

Candidature Française pour Euro 2016

Tous ensemble pour l'EURO 2016 à Strasbourg !

Alle zusammen für die EURO 2016 in Straßburg !


 

 
(C) LAFA-FFF - 2010


Sport et régions, l’heure des comptes

Les élections régionales sont l‘occasion d‘un éclairage porté sur les 442 millions d’euros que dépensent annuellement les 22 régions de métropole dans le domaine du sport. Un panorama où l’Alsace se distingue…
Le sport est peu présent dans la campagne des régionales. Quelques mots par-ci par-là permettent d’aborder ou plutôt d’effleurer le sujet dans les programmes et les déclarations. « Mettre en place avec les territoires une politique ambitieuse de développement des pratiques sportives avec de nouveaux équipements et un appui aux clubs » ou « Un développement de la pratique culturelle et sportive » lit-on par exemple dans les programmes des deux listes que les sondages placent en tête en Alsace. Et le ban est fermé. Pourtant, les 22 régions françaises de métropole dépensent annuellement près de 442 millions d’euros dans le sport. Certes, cela ne représente que 1,71 % de la dépense sportive publique, loin des collectivités locales (68,73 %) et de l’Etat (24,17 %) mais leur progression est forte. L‘Association des Cadres Territoriaux du Sport des Conseils Régionaux (A.C.T.S.C.R.) qui recense les chiffres tous les deux ans fait état d‘une progression de 16 % entre 2005 et 2007 de ces dépenses directes (les chiffres 2009 sont encore en cours de collecte). Elles augmentent toutefois légèrement moins que les budgets globaux des régions. Dans le détail, 70 % des dépenses sportives des régions sont liées aux compétences spécifiques qui leurs ont été accordées : éducation, formation - emploi et aménagement du territoire. Ainsi 38% vont à l’aménagement du territoire, soit plus de 167 millions d’euros, 22 % aux lycées soit 98 millions d’euros et 10% à la formation et au développement de l’emploi, soit 44 millions.

55 % des dépenses pour les investissements

Le solde de 30 %, soit 132 millions d’euros, relève du soutien au sport fédéral et regroupe les aides aux ligues et comités, à la filière sport de haut niveau et aux clubs. S’y ajoutent les aides à la pratique de masse, le soutien aux manifestations, la santé et l’ensemble promotion - études - colloques. En considérant les 442 millions en terme de répartition entre investissements et fonctionnement, 244,5 millions d’euros vont aux premiers, dont 220 millions pour les équipements sportifs (en augmentation de 36,8 millions par rapport à 2005) et 197,5 millions d’euros au second. L’aide au sport fédéral se taille la part du lion du fonctionnement avec 118,6 millions d’euros devant l’ensemble éducation - emploi - formation avec 69 millions d’euros. Montants totaux et ventilations (entre investissements et fonctionnement et par postes) varient fortement d’une région à l’autre. Pour une région comme l’Ile de France qui dépense 55,2 millions d’euros pour le sport (4,77 euros par habitant, 1,37 % du budget total), l’Alsace n’en dépense que 5,94 millions (3,25 euros par habitant et 0,77 % du budget). Les autres régions les plus généreuses pour le sport sont PACA avec 47,15 millions (9,79 euros /hab) ou encore la Picardie avec 32,8 millions (17,38 euros /hab et 3,60 %). Le Grand Est a plus de retenue sur le sujet, la Champagne fermant la marche (8,56 millions d’euros soit 6,41 euros /hab) avec la Franche-Comté (7,6 millions et 6,58 euros /hab) et notre région. L’Alsace se singularise aussi par l’accent mis sur le fonctionnement (84 % du budget) et donc la faiblesse du financement des équipements (16%) et en étant la première en France par l’importance accordée aux clubs dans les dépenses de fonctionnement (68 %). Rhône-Alpes ne leur accorde que 5 %.

L’Alsace se singularise

Et la région rhénane sort du lot français en n’accordant que 48 % de ses investissements aux équipements sportifs. Dans cinq régions dont l‘Auvergne, la Franche-Comté et l’Ile-de-France, cette proportion est de 100%. Avec un tissu associatif très dense, regroupant plus de 5 000 associations sportives et plus de 450 000 licenciés, l'Alsace se situe parmi les régions les plus sportives de France. Cela explique le soutien appuyé aux clubs évoqué précédemment. Pour 2010, la politique sportive du Conseil régional d’Alsace s'articule autour de deux axes majeurs : la promotion de la pratique sportive et tout particulièrement du sport de haut niveau, dont l'objectif est d'accompagner les meilleurs clubs et athlètes évoluant en Alsace (progression mais aussi reconversion) et l’aménagement sportif via le soutien à certains équipements spécialisés de secteur. Ainsi 4,32 millions d‘euros seront consacrés à cette politique. La promotion de la pratique se décline d’une part en une aide à cinquante ligues et comités régionaux au moyen de conventions quadriennales (sports olympiques et paralympiques) et de conventions biennales (sports non olympiques affinitaires ou assimilés et de loisirs) pour un budget de près de 470.000 euros. La Ligue d’Alsace de Football bénéficie d’une convention quadriennale de 20 000 euros par an visant à soutenir la formation des techniciens et dirigeants, la participation aux compétitions nationales et la détection et l’éveil à la pratique sportive.

Soutien aux manifestations et aux équipements

En outre, un budget de 400 000 euros est consacré au soutien à quelque 100 manifestations sportives exceptionnelles ou de dimension internationale dans tous les sports, sur proposition des ligues et comités sportifs régionaux concernés. L’aide se décline par ailleurs par le soutien au sport de haut niveau. Cent clubs sont aidés chaque année, dont huit clubs de football de D2 féminine, de CFA et de CFA 2 masculine (mais pas les clubs de futsal dont la discipline n’est pas reconnue par la Région Alsace), pour 1,4 millions d’euros ainsi que des athlètes (90 athlètes pour un total de 200.000 euros). S‘y ajoute l’accompagnement des formations qui évoluent dans l’excellence et dans un environnement « professionnel » : le RC Strasbourg Football, la SIG Basket-Ball et l’ASPTT Mulhouse Volley-Ball féminin pour un total de 693.000 euros. Côté aménagement sportif du territoire, la Région a budgété 1,1 million d’euros cette année pour aider au financement d’équipements, dont le Centre d’entraînement et de formation pour la natation à Mulhouse.

Une ligne supplémentaire s’ajoutera en cas de modernisation du stade de la Meinau pour l’Euro 2016. Si la France est retenue bien sûr.

Le budget de la Région Alsace

Le budget total pour 2010 du Conseil Régional d’Alsace s’élève à 778 millions d’euros. Il est réparti en trois grands ensembles : transports, éducation et formation et économie et développement. Les principaux postes sont les transports TER avec 144 millions d’euros, les lycées avec 116 millions d‘euros, le fonctionnement courant avec 80,5 millions d‘euros. Suivent les infrastructure avec 70,8 millions, la formation professionnelle et l’apprentissage, qui relèvent de l’ensemble « éducation et formation » (où apparaît un sous-ensemble culture et sport) avec respectivement 65,2 millions et 63,7 millions d‘euros. Côté recettes, 62,6 % viennent de l’Etat, 17,6 % de l’emprunt et 14,4 % de la fiscalité.

Le fameux millefeuille français

La France est championne du monde de l’empilement administratif aussi appelé millefeuille. Aux collectivités locales que sont les communes et les intercommunalités en pleine croissance (communautés de communes, d’agglomération ou urbaines) s’ajoutent les collectivités territoriales, c’est-à-dire le département (et son découpage en cantons) et la région. Sans compter, ce qui se profile : les pays (plusieurs com com) et maintenant les métropoles. Les collectivités locales et territoriales subviennent pour 32 % de la dépense sportive totale en France, l’Etat pour seulement 10,2 % et les ménages pour 50,7 %. La Région représente 0,72 % de cette dépense et 1,7 % de la part publique.

En Lorraine

Cette année, la Région Lorraine a budgété les dépenses sportives suivantes : aides aux ligues via une convention annuelle pour 1,59 million d‘euros, soutien aux clubs de haut niveau, hors professionnels mais y compris aides aux centres de formation des clubs pros (soit 180 000 euros pour le FC Metz et l’ASNL et 110 000 euros pour le club de basket nancéen) pour 2,72 millions d‘euros, soutien aux athlètes de haut niveau (en pôle lycée et CREPS en Lorraine ou ailleurs si nécessité) pour 285 000 euros et soutien à 9 clubs pour 372 000 euros. L’aide à la formation au BE s’élève à environ 460 000 euros.

Chez nos voisins

En Allemagne et en Suisse, le rôle sportif du Land et du Canton sont clairement définis. Outre Rhin, le sport relève du ministère de l’éducation, de la jeunesse et des sports du Land de Bade-Wurtemberg. Ce dernier est chargé de la promotion du sport de haut niveau et de masse en lien avec les ligues et les clubs, de la collaboration avec les écoles supérieures de sport, les écoles et les clubs et du soutien financier à la construction d’équipements. En Suisse, le canton de Bale Ville possède un service cantonal des sports dont les missions sont de promouvoir le sport sous toutes ses formes et à tous les niveaux de pratique en tant que vecteur d'une meilleure santé et pour de meilleures relations entre les personnes, favoriser la coordination entre les divers acteurs en harmonisant notamment les relations entre la Confédération, l'Etat, les communes, les écoles, les associations, les offices fédéraux et le canton, assurer toutes les tâches du canton en relation avec Jeunesse et Sport et informer.

Joël Hoffstetter

(C) LAFA 2010

Un objectif sur cinq ans

Guy Ferrier, membre de la Direction Technique National de la FFF, était à Strasbourg le 4 mars dernier pour expliquer le plan de développement du foot féminin aux élus de la Ligue et aux clubs :
Photo : Guy Ferrier, ici avec Sandrine Ringler, cadre technique féminine de la LAFA, est venu expliquer le plan de développement du foot féminin en Alsace.

L’ancien sélectionneur attaquait à Strasbourg son 18e déplacement en province. Le premier, il l’avait effectué le 7 septembre dernier en Bourgogne. C’est dire que Guy Ferrier attaque au pas de charge sa mission d’information sur le plan de développement du foot féminin et le projet de féminisation du foot français. « Mon discours de départ a déjà beaucoup évolué parce qu’il tient compte de tout ce que j’entends lors de mes déplacements, de tout ce que peuvent me dire les clubs ou les élus des ligues », explique le membre de la DTN qui avoue aussi que « les freins sont encore très nombreux. Les mentalités ont du mal à changer en France et ce n’est pas seulement vrai qu’en matière de foot féminin ».

Développer le foot de masse

Le 8 mars dernier, à l’occasion de la « Journée de la femme », la FFF a reçu le trophée « Femmes dans le sport » des mains de la secrétaire d’état aux sports, Rama Yade. Ce trophée récompense chaque année la fédération qui fait un effort notable en direction du développement de la pratique féminine. Ce même jour a été lancée la campagne de communication avec différents films visibles sur le net et pour lesquels Adriana Karembeu a offert son talent et sa notoriété. Il s’agira là de la partie visible d’un iceberg qui doit bousculer durablement les mentalités du foot français. « Le foot féminin a quarante ans en France, mais il est toujours resté dans son isolement. On a fait de l’élitisme et cela ne marche pas trop mal, on le voit avec les résultats des équipes de France. Il faut désormais imposer l’idée que les filles ont le droit de jouer entre elles dès leur plus jeune âge », poursuit Guy Ferrier.

Objectif chiffré

A l’image de l’opération « Graines de championnes » menée en Ligue d’Alsace depuis plusieurs saisons, l’idée générale est de tendre à la pratique féminine et au plaisir partagé entre filles. « La mixité a eu des aspects positifs, mais ce n’est pas une fin en soi. Souvent la fille se retrouvait isolée notamment parce qu’elle ne pouvait pas bénéficier des joies du vestiaire avec ses coéquipiers », explique Guy Ferrier. « Auparavant, on voyait tout de suite la différence entre une fille qui évoluait en mixité et une autre qui ne jouait qu’avec des filles, aujourd’hui, ce n’est plus le cas, je le vois au niveau des sélections pour la coupe nationale », ajoute Sandrine Ringler, cadre technique féminine de la Ligue d’Alsace. Si la FFF affichait souvent un chiffre de 60 000 licenciées, la réalité était en deçà et le chiffre actuel se situe plutôt entre 45 et 50 000 licenciées. « Je suis persuadé qu’on peut atteindre le cap de 80 000 licenciées en cinq ans », affirme Ferrier. Pour y parvenir, la première étape a été la reforme des compétitions avec la suppression de la D3 et l’arrivée d’un challenge national des U19. Le plan s’appuie sur une pratique de masse au niveau des régions et des départements mais aussi sur la structuration des clubs d’une élite resserrée avec des contraintes supplémentaires. Le statut de la « joueuse fédérale » va forcément améliorer encore le niveau de pratique et le niveau d’exigence des joueuses. « On a déjà des clubs très structurés comme Lyon, Montpellier, mais aussi le PSG ou Juvisy, d’autres suivent comme St-Etienne, d’autres encore sont intéressés comme Marseille ou Monaco. Et en Alsace, il faudra certainement aussi passer par là, intéresser le Racing et sortir de la guerre des clochers.

On y arrivera ! » Voilà qui sonne comme un slogan.

Stéphane Heili

(C) LAFA 2010

jeudi 11 mars 2010

Soirée Loto



Le FC Horbourg-Wihr 1933 organise le vendredi 02 avril (vendredi saint) 2010 à 20h 30 sa soirée Loto à la salle polyvalente à Horbourg.



Voir l'affiche ci-dessous pour à plus de précisions :

Annulation Soirée Paella

C'est avec regret que le FC Horbourg-Wihr 1933 vous annonce que la soirée Paella a été annulée mais vous invite le vendredi 02 avril 2010à 20h 30 à sa soirée Loto !

mercredi 10 mars 2010

Place aux femmes !

Alsace Foot cette semaine consacre sa UNE aux femmes et à la place qu'elles occupent au sein du foot français, qu'elles soient joueuses, dirigeantes, éducatrices ou arbitres. Retour sur l'Assemblée Générale de la LFA samedi dernier à Paris et sur la Coupe d'Alsace. L'actualité du futsal avec la visite de Henri Emile en début de semaine et les quarts de finale de la Coupe Nationale qui auront lieu ce samedi. Gros plan de la Région Alsace et des autres régions françaises pour un éclairage sur leurs investissements dans le domaine du sport. La LAFAcademy qui propose pour la première fois un stage en demi-pension, à l'occasion des congés scolaires de Pâques et comme toutes les semaines, le Bulletin Officiel du football alsacien :

Photo : Le foot français s'interroge sur la place des femmes, aussi bien les joueuses, ici le match Masevaux - Rossfeld de dimanche dernier, que de celui des dirigeantes et cadres du football.

Deuxième match de préparation

Après le premier match de préparation face à la Lorraine qui s’est soldé par une victoire 3-2 pour les alsaciennes, un deuxième match de préparation aura lieu contre la sélection U15F de la Franche Comté à Niederhergheim, le mercredi 17 mars à 15h30. Voici la liste des joueuses sélectionnées (nées en 1995/1996) :
Rappelons que les Franc-Comtoises se sont qualifiées lors de la dernière Coupe Nationale des Ligues. La rencontre se déroulera sur le terrain en herbe de Niederhergheim à 15h30, le rendez-vous est à 9h15 directement au stade. Un entraînement aura lieu en matinée avant le repas sportif pris ensemble au club house local.
14 joueuses ont été retenues pour ce match, merci de s’assurer que quelqu’un puisse véhiculer les joueuses, et veillez à ce qu’elles se munissent de leur équipement complet de football, notamment de leur chaussure de foot (moulés et vissés), ainsi que de leur pièce d’identité valide et leur fiche médicale dûment remplie pour celles qui ne l’auraient pas encore ramenée.

R-V pour l’ensemble des joueuses suivantes, le mercredi 17 mars 2010 à 9h15 au stade de Niederhergheim :
(A.S. 1921 MUNSTER) SUSIN MARGAUX
(A.S. MUSSIG) VIDAL MARINE
(A.S. RAEDERSDORF) KOCH JULIETTE
(A.S. SUNDHOFFEN) BOESCH MARINE
(C.S. MARS 05 BISCHHEIM) GEORGE LAETITIA
(C.S. MARS 05 BISCHHEIM) YILDIRIM JULIDE
(F.C. MASEVAUX) LESCALLIEZ HELENE
(F.C. ST FLORENT OBERHASLACH) GOEPP MELODIE
(F.C. ROSSFELD) SCHILLINGER JUDITH
(F.C. VENDENHEIM) BECK AMELIE
(F.C. VENDENHEIM) CAMPOS MARINE
(F.C. VENDENHEIM) LENTZ MANON
(F.C. VENDENHEIM) WIOLAND LEA
(F.C.E. SCHIRRHEIN) DANIZEL DIANA

Dislocation prévue à 18h30, après le pot qui aura lieu à l'issue de la rencontre.

Prière de prévenir impérativement Sandrine Ringler à la Ligue en cas d’indisponibilité (précisez la raison) ou blessure au 06.08.86.38.40 ou sandrine.ringler@lafa.fff.fr.

40 ans du football féminin : top départ officiel

Au Musée national du Sport, Rama Yade, Secrétaire d'Etat chargée des Sports a décerné ce lundi le Trophée national « Femmes et Sport » à la FFF, en le remettant officiellement à l'Alsacienne Marilou Duringer, membre du Conseil Fédéral (photo). Retrouvez quelques clichés de cette cérémonie qui a marqué, à l'occasion de la Journée de la Femme, le coup d'envoi officiel de la fête des 40 ans du football féminin :

Photo : Rama Yade au côté de deux figures emblématiques du football français, Bernadette Constantin, représentant le football féminin au CA de la LFA et Marilou Duringer, membre du Conseil Fédéral qui s'est vu remettre le Trophée

« Femmes et Sport » récompensant la meilleure stratégie ou action menée par une fédération en matière de féminisation des postes à responsabilités et/ou développement de la pratique féminine.

Réactions suite à la cérémonie :
Duringer : "Ce Trophée récompense beaucoup de travail"
Pour son plan d'action quadriennal 2008-2012 en faveur du développement du football féminin, la FFF a reçu lundi des mains de la Secrétaire d'Etat aux Sports Rama Yade (photo, face à Marilou Duringer, devant Jean-Pierre Escalettes) le trophée Femmes et Sports. Pour la Journée de la Femme, cette cérémonie a également été l'occasion de donner le coup d'envoi de la célébration des 40 ans du football féminin français. Retrouvez quelques-unes des interventions effectuées au Musée du Sport Français.
Rama Yade, Secrétaire d'Etat aux Sports
"Ce concours Femmes et Sports est d'autant plus important que les femmes n'occupent toujours pas en 2010 la place qu'elles méritent dans le sport français. Elles ne représentent qu'un tiers des licenciés dans l'ensemble des fédérations sportives. 54 fédérations sportives ont même moins de 25% de licenciées. Cette sous-représentation se retrouve également dans les instances dirigeantes : seulement 8 femmes sont aujourd'hui présidentes de fédérations."
Bernadette Constantin, membre du CA de la LFA
"Je pense que toutes les fédérations travaillent dans le même sens : boxe ou football, il faut simplement que les filles sachent qu'elles ont le choix. Je remercie Fernand Duchaussoy de m'avoir nommée vice-présidente de la LFA en me demandant de représenter la femme dans le football."

Marilou Duringer, membre du Conseil Fédéral
"Ce Trophée "Femmes et Sports" va nous porter bonheur, j'en suis sûre. Il récompense beaucoup de travail et je tiens à souligner tous les efforts effectués au sein des Ligues et des Districts."
Adriana Karembeu, marraine de la fête des 40 ans du football féminin et également ambassadrice du football féminin
"J'ai un lien particulier avec le football via mon mari et j'ai vécu des moments extraordinaires grâce à ce sport. Mais j'ai découvert que ce sport si médiatisé, souffre d'une image réductrice dès qu'il est pratiqué par des femmes. Je suis heureuse d'avoir l'opportunité de faire passer le message que le football féminin est un trésor à valoriser. C'est une pratique d'où sont absentes la violence et la tricherie, tout en gardant une grande élégance technique."

Jean-Pierre Escalettes, président de la FFF
"Dans l'histoire du football féminin en France, un premier match est répertorié en 1917. De 1910 à 1933, les clubs parisiens mettent en place une compétition de clubs, avant qu'en 1940, le régime de Vichy ne déclare le football nocif pour les femmes. Après-guerre, la pratique connaît un essor, notamment en Alsace. Mais il a fallu attendre le 29 mars 1970 pour que, sous l'impulsion de Jacques Georges, président de la FFF, le Conseil Fédéral de la FFF reconnaisse officiellement le football féminin. On compte alors 2170 licenciées et des pionnières, telles que Marilou Duringer, aujourd'hui membre du Conseil Fédéral. Et aujourd'hui, environ 90.000 femmes s'investissent dans le football, soit dans la pratique, soit dans un rôle de management ou d'accompagnement.

Le trophée "Femmes et Sport" est un moyen de mettre en lumière des actions souvent confidentielles ou peu relayées par les médias, lesquels ne recherchent souvent que du "sensationnel" ou du décalé. "Femmes et Sports" est une fenêtre pour faire connaître son sport, et surtout les valeurs qu'il véhicule."

Fernand Duchaussoy, président de la LFA
"2010 doit être plus que jamais l'année du football féminin car il y a urgence. Nous avons beaucoup de retard sur des nations telles que la Norvège ou l'Allemagne, avec son million de licenciées. Nous avons tous notre part de responsabilité dans ce constat. Pour le rassemblement de la Journée des Bénévoles, ce serait un symbole fort si nous avions une parité hommes - femmes parmi les 1000 dirigeant(e)s qui seront présents.

D'ici-là, la journée dédiée à cette fête des 40 ans (dimanche 23 mai 2010 à Evry-Bondoufle) promet d'être un grand moment avec la finale de la Coupe Nationale U15, un match de gala, la finale du Challenge de France Féminin et une grande exposition sur les temps forts de l'histoire du football féminin."

Gérard Houllier, DTN
"A la DTN, nous avons fixé un objectif de 200.000 licenciées dans dix ans. Un entraîneur national (Guy Ferrier) a la charge du développement de la masse. Dans les Ligues, des cadres d'Animation Techniques Régionaux Féminins (CATRF) s'y consacrent entièrement. Des clubs et des équipes vont naître et vite gravir la hiérarchie. Il y a même un club dont les filles ont déjà atteint le dernier carré de l'UEFA Champions League avant leurs homologues masculins ! (ndlr : l'Olympique Lyonnais).

Une des priorités de la DTN est donc d'élargir la base de la pyramide. Concernant l'élite, nous sommes actuellement 9èmes au classement féminin de la FIFA ce qui est un signe de bonne santé. Les "A" ont d'ailleurs été quarts de finalistes de l'Euro 2009 et sont en tête de leur groupe des éliminatoires du Mondial 2011."
Photo : De gauche à droite, Anne Christelle Fogliani, Présidente et animatrice de la Commission Fédérale de Féminisation, Adriana Karembeu, la marraine de cette démarche de féminisation du football français, Erny Jacky, membre de cette même commission et Directeur Général de la Ligue d'Alsace de Football, une ligue pionnière dans ce domaine et Marilou Duringer, membre du Conseil Fédéral.


(C) FFF-LAFA - 2010

mardi 9 mars 2010

Journées découvertes pour les U11F

Ce mercredi 10 mars sera l'occasion de rassembler toutes les jeunes filles nées en 1999 afin de les informer sur la pratique du football et pour qu'elles puissent se retrouver et s'exercer entre elles. Rendez-vous à Illkirch et à Wittenheim :
- R-v à 14h15 pour les Bas-Rhinoises sur le stade synthétique de la Schlossmatt à Illkirch-Graffenstaden.
- R-v à 14h15 pour les Haut-Rhinoises sur le stade en herbe de Wittenheim, Cité Sainte Barbe, 10 Rue de la 1ère Armée Française (et non à Ruelisheim comme initialement indiqué)

Olivier Teissere

(C) LAFA - Le lundi 08 mars 2010 - 16h15

lundi 8 mars 2010

Pour vous, les visuels Euro 2016 !

Pour relayer l'opération "Cliquez pour la France" auprès de vos amis et de toutes vos connaissances, vous pouvez télécharger et mettre en ligne sur votre site web les visuels de promotion (logo officiel, badge, affiche, publicités pour votre blog ou site internet) de la campagne web "candidature de la France à l'organisation de l'UEFA Euro 2016". Faites votre choix et servez-vous !

Tous les visuels, y compris le logo officiel de la candidature, sont à diriger directement vers l'adresse du site officiel de la candidature française http://tousensemble2016.fff.fr/

Les visuels promotionnels (y compris ceux du concours de dessin) à télécharger (format zip) : Visuels promotionnels de la candidature UEFA Euro 2016

Profitez-en également pour installer votre signature de mails aux couleurs de la candidature française à l'UEFA Euro 2016.

Soyez - vous aussi - acteur et actrice de la candidature de la France, cliquez pour la France et faites cliquer tous vos amis...

(C) FFF - 2010

jeudi 4 mars 2010

« Temps mort », si on se lançait ?


 
La Ligue d’Alsace lance une expérimentation sur le « temps mort » au niveau des poussins sur la phase retour. Une première étape avant la généralisation ?
Vincent Voegtlin
Photo : Le temps mort est habituel dans bien des disciplines, comme ici le basket avec Jamel Benabid et les Mulhousiens, mais pas au foot où l’expérience sera tentée ce printemps chez les poussins.

L’idée avait été lancée par l’équipe technique de la Ligue d’Alsace lors du recyclage annuel des éducateurs alsaciens en août dernier à Benfeld. Depuis, elle a fin du chemin et va entrer, à l’occasion de la phase retour dans une phase expérimentale. Une soixantaine d’équipes du Haut-Rhin et un groupe entier de Poussins promotion du Bas-Rhin vont tester le dispositif. « Il s’agira d’un temps mort qu’on appelle « technique » d’une minute et chaque équipe peut en demander un au cours de chaque mi-temps », explique Francky Christlen, conseiller départemental du foot d’animation du Haut-Rhin. Pour le demander, l’éducateur fera le signe « T » avec ses mains en s’adressant à l’arbitre, à condition que son équipe soit en possession de la balle. « L’objectif est clairement pédagogique et technique et c’est pour cela que nous le testons au niveau du foot d’animation. L’éducateur peut s’en servir pour réexpliquer une notion, mais aussi, par exemple, pour valoriser ses joueurs qui viendraient de réaliser parfaitement un exercice vu à l’entraînement dans la semaine. C’est vu comme un outil supplémentaire à sa disposition ». Du bilan de fin de saison dépendra l’extension à la totalité de la catégorie à la rentrée prochaine, voire une éventuelle extension aux U13 par exemple.

L’expérience des autres

Le football n’est pas, loin s’en faut, le seul sport où la notion de « temps mort » n’existe pas. On le connaît dans le handball, le basket, le volley, le football américain, le tennis de table (uniquement en double) et dans le …futsal. Pour Jean-Luc Le Gall, entraîneur du club de hand de Sélestat et ancien CTR, « le temps mort est devenu un outil très important » dans sa discipline où il n’a été introduit qu’en 2001 avec un temps mort par mi-temps, réclamé à l’aide d’un carton vert adressé à la table de marque lorsque son équipe est en possession du ballon. « Nous avions déjà beaucoup de leviers sur le banc en handball avec la possibilité de changer autant de joueurs qu’on le souhaite, mais le temps mort est venu s’ajouter à l’arsenal. On s’en sert pour casser la dynamique positive de l’adversaire, mais on tente surtout de le conserver pour ce qu’on appelle le « money time », la fin de rencontre où tout se joue. On sait qu’au meilleur niveau, un match peut basculer sur un changement tactique », explique Jean-Luc Le Gall. « Chez les petits, c’est davantage pédagogique. Je trouve que c’est intéressant que le foot s’y mette aussi. Je pense que chez les plus jeunes, cela peut aussi permettre de limiter l’influence de l’environnement des enfants sur le terrain de foot, je pense notamment aux parents par exemple ».

Un temps mort par quart temps

Au basket, l’usage du « temps mort » est devenu une réelle habitude. Un match sans « temps mort » serait un véritable ovni, surtout à un certain niveau. L’entraîneur de basket dispose, chez les seniors, de cinq « temps mort » dans son match, deux pour la première mi-temps, trois pour la seconde. « Il est demandé par l’entraîneur lors de n’importe quel arrêt de jeu ou à la suite d’un panier encaissé », précise Isabelle Firmann, conseillère technique fédérale du comité du Haut-Rhin de basket. « Chez les amateurs, il permet de recadrer un aspect tactique ou de gérer aussi la fatigue en fin de match. A haut-niveau, on voit les entraîneurs le conserver pour la fin de match et la gestion d’une action clef par exemple. Il permet aussi de briser l’élan positif de l’adversaire ». Le comité du Haut-Rhin a étendu l’usage du « temps mort » aux plus jeunes. Dès le « baby basket » et chez les poussins, il existe un « temps mort » par quart temps. « Là l’utilisation est moins systématique, surtout lorsqu’une équipe domine de la tête et des épaule. Je trouve que ça ne peut être qu’une bonne chose pour les plus jeunes au football, notamment pour recadrer un aspect tactique ».

Question de culture

Handballeurs et basketteurs ne sont pas le seuls à utiliser le « temps mort ». Certains footballeurs ont également la possibilité de l’utiliser, à raison d’une fois par mi-temps et par équipe. Mais contrairement aux deux autres disciplines, son usage est loin d’être systématique, surtout lorsqu’on sort du haut-niveau international. Il est fréquent de voir un match de championnat national futsal s’achever sans qu’aucun des deux entraîneurs n’ait demandé la moindre pause. « C’est vrai que ce n’est pas dans la culture du footballeur », explique Rodolphe Lopez, l’entraîneur du Sporting Paris Futsal, l’un des meilleurs clubs français actuellement. « Il y aussi le fait que beaucoup d’entraîneurs sont aussi joueurs et qu’il n’est pas évident de gérer le tout. A titre personnel, je trouve c’est un outil vraiment intéressant, surtout dans une passe difficile lorsqu’on encaisse une série. Cela permet de stopper l’hémorragie, de remotiver, de replacer. En futsal, le temps mort permet également un temps de récupération au plan physique. Je l’utilise parfois lorsqu’on part avec un effectif court. Une minute de récupération, c’est important ». Seul bémol pour le technicien du Sporting Paris, « le fait qu’il faille passer par l’arbitre et attendre le prochain arrêt de jeu. Cela peut parfois être long. Je trouve que l’utilisation du temps mort chez les poussin en extérieur ne peut avoir que des aspects positifs.

Pour ce qui est de l’étendre à toute la discipline, je suis sceptique, le football a ses habitudes et du mal à les changer ».

Stéphane Heili

(C) LAFA - 2010

Jeu Concours Euro2016

Candidature Euro 2016

"Dessine le foot comme tu l'aimes !"

Dans le cadre de la candidature de la France à l'Euro 2016, la FFF organise un concours de dessin, ouvert en France à tous les enfants de moins de 13 ans sur le thème du football, depuis le lundi 4 janvier jusqu'au mardi 16 mars 2010 inclus. Le dessin sélectionné paraîtra dans le quotidien l'Equipe et sera affiché, au côté de ceux des 79 autres lauréats, lors d'une exposition sur les grilles du Stade de France. A vos feutres !

Pour participer, rien de plus simple !
1. Téléchargez ce formulaire de participation, et aussi le règlement complet. La FFF enverra également un kit de participation aux mairies des douze villes candidates, qui le transmettront aux écoles primaires, centres aérés et clubs de football de jeunes.

2. Dessinez, au format A3 (29,7cmx42cm), le football comme vous l'aimez.

3. Renvoyez votre dessin (non plié) et votre formulaire de participation à l'adresse suivante : Grand Jeu "Concours de Dessins Euro 2016 - Dessine le Foot comme tu l'aimes", Touche Etoile N° 06707 - BP 10707 - 59063 Roubaix CEDEX 1. Celui-ci comprend l'autorisation d'utilisation de votre oeuvre Votre envoi devra être adressé avant le mardi 16 mars 2010 inclus, le cachet de la poste faisant foi.

4. Découvrez lors de la deuxième quinzaine de mars si vous êtes le lauréat du Grand Prix ou l'un des vainqueurs du 2ème au 80ème prix. Le verdict du jury sera dévoilé en avant-première sur fff.fr !


(C) FFF.fr

mercredi 3 mars 2010

RCS-ANGERS: LE MATCH DES FEMMES !

Ce vendredi soir, à quelques jours de la Journée de la Femme, le Racing met les femmes et toutes les supportrices à l'honneur. Le RCS invite gratuitement toutes les femmes souhaitant assister à cette rencontre. Plein d'animations sont d'ailleurs prévues à destination des supportrices du Racing.

Toutes à la Meinau, vendredi, pour soutenir le RCS !!!

LES FEMMES INVITÉES

Ce vendredi soir, et pour célébrer à sa manière la Journée de la Femme, le lundi 8 mars, le RCS invite gratuitement toutes les supportrices à venir assister à la rencontre face à Angers.

Les femmes, jeunes et moins jeunes, peuvent retirer leur(s) place(s) à la Billetterie du Racing, au Stade de la Meinau et dans les points de vente Super U.

Elles peuvent aussi venir accompagnées, puisqu'un tarif préférentiel est réservé à leur accompagnant: 5€ en tribune Est.

ÉLECTION DE LA REINE D'UN SOIR

A l'occasion de ce Match des Femmes, le Racing a lancé, sur la page Facebook de la Boutique du Club, l'élection de la Reine d'un soir. Les supportrices sont invitées à envoyer leur photo par mail et à inviter leurs amis à voter pour elles.

L'élue se verra offrir une croisière pour 2 personnes au Portugal, d'une valeur de 2000€. Elle aura aussi le privilége d'assister à l'échauffement des joueurs en bord de pelouse.

DAVID ZITELLI A LA MEINAU

Ancien chouchou des supportrices de la Meinau, David Zitelli sera présent au Stade ce vendredi soir. Il donnera le coup d'envoi fictif de la rencontre avant d'assister au match en tribune.

Zitelli sera aussi sollicité en début de match, puisqu'il remettra la récompense à la Reine du soir.

lundi 1 mars 2010

Un site dédié aux gestes qui sauvent

Alors que débute une grande campagne nationale de sensibilisation aux gestes qui sauvent en cas d'arrêt cardio-respiratoire, un nouveau site permet de s'informer sur les premiers secours.


Ouvert depuis lundi, le site http://www.foot-gestespourunevie.com/ , dont la page d'accueil reprend le visuel de l'opération, est l'un des outils de communication développés pour promouvoir cette initiative des différents acteurs du football, mais aussi et surtout pour offrir un véritable espace pratique et interactif à ses utilisateurs.

Ceux-ci pourront notamment y trouver le contenu des formations proposées, à destination des professionnels et des amateurs, et le bulletin d'adhésion téléchargeable (pour les amateurs). Un espace "presse" est également accessible aux médias.

Découvrez la vidéo de la campagne nationale

samedi 27 février 2010

Loi n° 5 : Arbitre

Suite a un listing de l'ensemble des articles sur le blog, je me suis rendu compte qu'il manquait la loi n° 5 sur les arbitres.

Autorité de l’arbitre

Un match se dispute sous le contrôle d’un arbitre disposant de toute l’autorité nécessaire pour veiller à l’application des Lois du Jeu.

Pouvoirs et devoirs
L’arbitre :
• veille à l’application des Lois du Jeu ;
• contrôle le match en collaboration avec les arbitres assistants et, le cas échéant, avec le quatrième officiel ;
• s’assure que chaque ballon utilisé satisfait aux exigences de la Loi 2 ;
• s’assure que l’équipement des joueurs satisfait aux exigences de la Loi 4 ;
• remplit la fonction de chronométreur et consigne par écrit les événements du match ;
• décide à chaque infraction aux Lois du Jeu d’arrêter le jeu, de suspendre le match ou de l’arrêter définitivement ;
• décide d’arrêter le jeu, de suspendre le match ou de l’arrêter définitivement en raison d’une quelconque interférence extérieure ;
• arrête le match s’il considère qu’un joueur est sérieusement blessé, et s’assure que le joueur est transporté hors du terrain de jeu. Un joueur blessé ne peut retourner sur le terrain qu’une fois que le match a repris ;
• laisse le jeu se poursuivre si, à son avis, un joueur n’est que légèrement blessé ;
• fait en sorte que tout joueur présentant un saignement quitte le terrain.

Le joueur ne pourra y revenir que sur un signe de l’arbitre après que celui-ci s’est assuré que le saignement s’est arrêté ;
• laisse le jeu se poursuivre si l’équipe contre laquelle une faute a été commise se retrouve néanmoins en situation avantageuse, et sanctionne la faute commise initialement si l’avantage escompté n’intervient pas ;
• sanctionne la faute la plus grave quand un joueur commet simultanément plusieurs fautes ;
• prend des mesures disciplinaires à l’encontre de tout joueur ayant commis une faute passible d’avertissement ou d’exclusion. Il n’est pas tenu d’infliger le carton immédiatement mais doit le faire lors du prochain arrêt de jeu ;
• prend des mesures à l’encontre des officiels de l’équipe qui n’ont pas un comportement responsable et, à sa discrétion, expulse ceux-ci du terrain et de ses abords immédiats ;
• intervient sur indication des arbitres assistants en ce qui concerne les incidents qu’il n’a pas pu constater lui-même ;
• fait en sorte qu’aucune personne non autorisée ne pénètre sur le terrain de jeu ;
• donne le signal de la reprise du match après une interruption du jeu ;
• remet aux autorités compétentes un rapport consignant les informations relatives à toute mesure disciplinaire qu’il a prise à l’encontre des joueurs et/ ou d’officiels, ainsi que tout autre incident survenu avant, pendant ou après le match.

Décisions de l’arbitre
Les décisions de l’arbitre sur des faits en relation avec le jeu sont sans appel, y compris la validation d’un but et le résultat du match.

L’arbitre ne peut revenir sur une décision que s’il réalise que celle-ci n’est pas la bonne ou, à sa discrétion, après avoir consulté un arbitre assistant ou le quatrième officiel, le tout sous réserve que le jeu n’ait pas repris ou que le match ne soit pas terminé.

Décision de l’International Football Association Board

Décision 1
L’arbitre (ou, le cas échéant, un arbitre assistant ou le quatrième officiel) ne peut être tenu pour responsable d’aucune blessure d’un joueur, officiel ou spectateur, d’aucun dégât matériel, quel qu’il soit, d’aucun préjudice causé à une personne physique, à un club, à une entreprise, à une association ou à tout autre organisme et qui soit imputé ou puisse être imputé à une décision prise conformément aux Lois du Jeu ou aux procédures normales requises pour organiser un match, le disputer ou le contrôler.

Il peut s’agir de :
• la décision de permettre ou d’interdire le déroulement du match en raison de l’état du terrain et de ses abords ou en raison des conditions météorologiques ;
• la décision d’arrêter le match définitivement pour quelque raison que ce soit ;
• la décision relative à la conformité de l’équipement du terrain et du ballon utilisé pour le match ;
• la décision d’interrompre ou non le match en raison de l’intervention de spectateurs ou de tout problème survenu dans les zones réservées aux spectateurs ;
• la décision d’interrompre ou non le match afin de permettre le transport d’un joueur blessé hors du terrain de jeu pour être soigné ;
• la décision d’exiger avec insistance le transport d’un joueur blessé hors du terrain de jeu pour être soigné ;
• la décision de permettre ou d’interdire à un joueur de porter certains accessoires ou équipements ;
• la décision (pour autant qu’elle soit de son ressort) de permettre ou d’interdire à quelque personne que ce soit (y compris aux officiels des équipes ou du stade, aux agents de la sécurité, aux photographes ou aux autres représentants des médias) de se tenir à proximité du terrain de jeu ;
• toute autre décision que l’arbitre peut prendre conformément aux Lois du Jeu ou conformément à ses obligations telles qu’elles sont défi nies dans les règlements et prescriptions de la FIFA, des confédérations, des associations membres ou des ligues sous la responsabilité desquelles se dispute le match.

Décision 2
Dans les tournois et compétitions pour lesquels est désigné un quatrième officiel, le rôle et les obligations de ce dernier doivent être en conformité avec les directives approuvées par l’IFAB et contenues dans ce livret.

Droits et devoirs
L’arbitre est autorisé à arrêter le match s’il est d’avis que l’éclairage est inadéquat.

Si l’arbitre, un des arbitres assistants, un joueur ou un officiel d’équipe est touché par un objet lancé par un spectateur, l’arbitre peut laisser le match se poursuivre, l’interrompre ou l’arrêter définitivement en fonction de la gravité de l’incident. Il doit dans tous les cas rapporter le(s) fait(s) aux autorités compétentes.

L’arbitre est habilité à infliger des cartons jaunes et rouges pendant la mi-temps ou après la fi n du match ainsi que pendant les prolongations et les tirs au but car le match continue de relever de sa compétence à ces moments-là.

Si un arbitre est temporairement inconscient pour quelque raison que ce soit, le match peut continuer sous la direction des arbitres assistants jusqu’à la prochaine occasion où le ballon ne sera plus en jeu.

Si un spectateur donne un coup de sifflet que l’arbitre considère comme ayant interféré dans le match (un joueur prenant par exemple le ballon dans ses mains en pensant que le jeu a été interrompu), l’arbitre doit interrompre le match et le faire reprendre par une balle à terre à l’endroit où se trouvait le ballon au moment de l’interruption du jeu, à moins qu’il ne se soit trouvé à l’intérieur de la surface de but auquel cas l’arbitre laissera le ballon tomber sur la ligne de la surface de but qui est parallèle à la ligne de but, et ce au point le plus proche de celui où se trouvait le ballon lorsque le jeu a été arrêté.

Avantage
L’arbitre peut laisser jouer l’avantage lorsqu‘une faute est commise.

L’arbitre décide d’appliquer la règle de l’avantage ou d’interrompre le jeu en fonction des critères suivants :
• la gravité de la faute. Si l’infraction justifie une expulsion, l’arbitre doit interrompre le match et exclure le joueur à moins qu’une occasion de but ne se dessine.
• l’endroit où la faute a été commise : plus la faute a été commise près du but adverse, plus l’avantage peut être décisif ;
• la probabilité d’une attaque dangereuse et immédiate vers le but de l’adversaire ;
• la physionomie du match.

La décision de pénaliser la faute d’origine doit être prise en quelques secondes.

Si la faute justifie un avertissement, celui-ci doit être signifié lors de la prochaine interruption de jeu. Cependant, à moins qu’il n’y ait un clair avantage, il est recommandé à l’arbitre d’interrompre le match et d’avertir le joueur immédiatement.

Si l’avertissement n’est PAS signifié lors de l’interruption suivante, il ne pourra plus l’être ultérieurement.
Joueurs blessés

Procédure
• L’arbitre doit laisser le jeu se poursuivre jusqu’à ce que le ballon ne soit plus en jeu s’il est d’avis que le joueur n’est que légèrement blessé.
• L’arbitre doit arrêter le jeu s’il est d’avis que le joueur est sérieusement blessé.
• Après avoir interrogé le joueur blessé, l’arbitre doit autoriser un ou tout au plus deux médecins à pénétrer sur le terrain de jeu pour évaluer la blessure et organiser la sortie du joueur rapidement et en toute sécurité.
• Les brancardiers doivent pénétrer sur le terrain de jeu avec une civière en même temps que les médecins pour permettre l’évacuation du joueur le plus rapidement possible.
• L’arbitre doit faire en sorte qu’un joueur blessé soit évacué du terrain en toute sécurité.
• Un joueur n’a pas le droit d’être soigné sur le terrain de jeu.
• Tout joueur présentant un saignement doit quitter le terrain. Il ne pourra revenir que sur un signe de l’arbitre qui se sera assuré au préalable que le saignement a cessé. Un joueur n’a pas le droit de porter des vêtements maculés de sang.
• Dès que l’arbitre a autorisé les médecins à pénétrer sur le terrain de jeu, le joueur doit quitter celui-ci, soit sur une civière soit en marchant. Si le joueur ne respecte pas les instructions de l’arbitre, il écopera d’un avertissement pour comportement antisportif.
• Un joueur blessé ne peut retourner sur le terrain qu’une fois que le match a repris.
• Si le ballon est en jeu, un joueur sorti se faire soigner devra regagner le terrain de jeu au niveau de la ligne de touche. Si le ballon n’est pas en jeu, le joueur pourra regagner le terrain de jeu depuis toute ligne de démarcation.
• Que le ballon soit en jeu ou non, seul l’arbitre peut autoriser un joueur blessé à regagner le terrain de jeu.
• L’arbitre peut autoriser un joueur blessé à regagner le terrain de jeu si un arbitre assistant ou le quatrième officiel a vérifié que le joueur est prêt.
• Si le jeu n’a pas été arrêté pour une autre raison ou si la blessure d’un joueur n’est pas causée par une atteinte aux Lois du Jeu, l’arbitre fera reprendre le jeu par une balle à terre à l’endroit où se trouvait le ballon au moment de l’interruption du jeu, à moins qu’il ne se soit trouvé à l’intérieur de la surface de but auquel cas l’arbitre laissera le ballon tomber sur la ligne de la surface de but qui est parallèle à la ligne de but, et ce au point le plus proche de celui où se trouvait le ballon lorsque le jeu a été arrêté.
• L’arbitre doit permettre de récupérer tout le temps perdu pour cause de blessures à la fi n de chaque période de jeu.
• Si l’arbitre a décidé de sanctionner le joueur blessé par un carton et si ce dernier doit quitter le terrain de jeu pour se faire soigner, l’arbitre doit sanctionner le joueur avant que ce dernier quitte le terrain de jeu.

Il ne peut être dérogé à ces règles que si :
• un gardien de but est blessé ;
• un gardien de but et un joueur de champ sont entrés en collision et nécessitent des soins immédiats ;
• une grave blessure est constatée (langue avalée, commotion, jambe cassée, etc.).

Multiples fautes simultanées
• Fautes commises par deux joueurs de la même équipe :
– L’arbitre doit sanctionner la faute la plus grave.
– Le jeu doit reprendre selon la procédure applicable à la faute la plus grave.
• Fautes commises par des joueurs des deux équipes :
– L’arbitre doit arrêter le match et faire reprendre le jeu par une balle à terre à l’endroit où se trouvait le ballon au moment de l’interruption du jeu, à moins qu’il ne se soit trouvé à l’intérieur de la surface de but auquel cas l’arbitre laissera le ballon tomber sur la ligne de la surface de but qui est parallèle à la ligne de but, et ce au point le plus proche de celui où se trouvait le ballon lorsque le jeu a été arrêté.
Positionnement lorsque le ballon est en jeu

Recommandations
• Le jeu devrait se dérouler entre l’arbitre et l’arbitre assistant le plus concerné par le jeu de par sa position.
• L’arbitre assistant le plus proche du jeu doit se tenir dans le champ de vision de l’arbitre. Ce dernier doit, pour ses déplacements, utiliser un système de grande diagonale.
• Se tenir à l’écart du jeu permet plus facilement de conserver à la fois l’action et le premier arbitre assistant dans son champ de vision.
• L’arbitre doit être suffisamment proche de l’action pour suivre le jeu sans le perturber.
• « Ce qu’il faut voir » ne se produit pas toujours à proximité du ballon.

L’arbitre doit également surveiller :
– l’agressivité des confrontations entre joueurs se trouvant loin du ballon ;
– les fautes possibles dans la zone vers laquelle se dirige le jeu ;
– les fautes commises après que le ballon a été joué.
Positionnement sur coups de pied arrêtés
La meilleure position est celle d’où l’arbitre peut prendre la bonne décision.

Toutes les recommandations concernant le positionnement sont basées sur des probabilités et doivent être adaptées en fonction des informations spécifiques sur les équipes, les joueurs et les événements survenus pendant le match.

Les schémas ci-après représentent des placements basiques recommandés aux arbitres. La référence à une « zone » vise à souligner que la position recommandée couvre un espace à l’intérieur duquel la performance de l’arbitre doit pouvoir être optimale. Cet espace peut être plus ou moins grand, ou avoir une forme différente suivant les circonstances.

1. Placement sur coup d’envoi














2. Placement sur coup de pied de but














3. Placement sur coup de pied de coin (1)














4. Placement sur coup de pied de coin (2)














5. Placement sur coup franc (1)














6. Placement sur coup franc (2)














7. Placement sur coup franc (3)














8. Placement sur coup franc (4)














9. Placement sur coup de pied de réparation














Les signaux de l'arbitre


Utilisation du sifflet
Un coup de sifflet est nécessaire pour signifier :
• le coup d’envoi (1re et 2e mi-temps) ou la reprise du jeu après un but ;

• l’interruption du jeu
– pour un coup franc ou un coup de pied de réparation ;
– pour suspendre ou arrêter le match définitivement ;
– lorsqu’une période de jeu s’achève car le temps est écoulé ;

• la reprise du jeu lors des
– coups francs lorsque le mur est placé à distance réglementaire ;
– coups de pied de réparation ;

• la reprise du jeu après une interruption due à
– un carton jaune ou un carton rouge infligés pour incorrection ;
– une blessure ;
– un remplacement.

Un coup de sifflet n’est PAS nécessaire pour signifier :
• l’interruption du jeu pour :
– un coup de pied de but, un coup de pied de coin ou une rentrée de touche ;
– un but ;

• la reprise du jeu après :
– un coup franc, un coup de pied de but, un coup de pied de coin ou une rentrée de touche.

Un usage trop fréquent du sifflet affaiblira son impact. Quand la reprise du jeu nécessite un coup de sifflet de l’arbitre, ce dernier doit annoncer clairement aux joueurs qu’ils doivent attendre ce signal.

Langage corporel
Le langage corporel est un instrument qui aide les arbitres à :
• contrôler le match ;
• montrer de l’autorité et du sang-froid.

Le langage corporel n’est pas :
• l’explication d’une décision.

vendredi 26 février 2010

Football au féminin

Liste des correspondants des sections féminines


Vous souhaitez pratiquer le football selon votre âge, votre niveau de jeu et votre secteur géographique, prenez connaissance des correspondants des clubs par ordre alphabétique :

Sachez également que pour les catégories Débutantes, Poussines, Benjamines et 13 ans, vous pouvez jouer en mixité, si vous ne trouvez pas de club ayant une équipe uniquement composée de filles.

CATEGORIES :
Pitchounes ou U7F : nées en 2003 - 2004 (dès 6 ans)
Débutantes ou U9F : nées en 2001 - 2002
Graines de championnes ou U11F et U13F : nées en 1997 - 1998 - 1999 - 2000
U15F : nées en 1995 - 1996
U18F : nées en 1992 - 1993 - 1994
Seniors F : nées avant 1992

Pour l'Alsace voici un lien directe sur une liste des clubs ayant une section féminines.

(C) LAFA 2010

Stages de foot LAFAcademy cet été

Stages de foot LAFAcademy 2010 !


Walbourg et Carspach (pension complète)
Strasbourg et Carspach (demi-pension)

La Ligue d’Alsace de Football vous présente l’édition 2010 des Stages LAFAcademy imaginés, créés et mise en place par l’Equipe Technique de la Ligue.

Ouverte aux licenciés, tout comme aux non licenciés, la LAFAcademy accueille les enfants de 8 à 16 ans (garçons et filles nés entre 1994 et 2002) en formule « pension complète » à Walbourg dans le Bas-Rhin, à Carspach dans le Haut-Rhin et en formule « demi-pension » à Strasbourg (+ une semaine en demi-pension à Carspach).

En pension complète (6 jours), l’équipe technique vous accueille, pour la 5ème année consécutive, à Walbourg et à Carspach. Cette année encore, lors du stage de Pâques, nos jeunes LAFAcadémiciens pourront conjuguer football et perfectionnement aux langues allemande ou anglaise. Une ambiance conviviale, amicale et ludique axée autour d’un programme d’entraînement sélectif, agrémentée par le football dans toute sa diversité (Futsal, Freestyle, Tennis- Ballon, etc.), des formations spécifiques (spécial gardiens, arbitrage, initiation aux premiers secours, etc.) et des veillées festives. Nos stagiaires améliorent leur technique, leur approche tactique du jeu, appréhendent la gestion de leur potentiel physique et reçoivent une expérience de vie communautaire à laquelle nous sommes très attachés. Cette offre de stage est agréée par la Direction Régionale de la Jeunesse et des Sports.

En demi-pension (5 jours), l’équipe technique vous accueille, pour la 19ème année consécutive, au Siège de la Ligue à Strasbourg durant le mois de juillet. Des conditions de stage idéales pour exprimer ses qualités, perfectionner ses acquis ou bien débuter son apprentissage du football, tout en évoluant dans une ambiance orientée sur le plaisir du jeu, l’esprit de sportivité et la camaraderie (une semaine en demi-pension est également proposée à Carspach du 26 au 30 juillet).

Tous les stagiaires (pension complète et demi-pension) recevront un équipement complet offert par l’Association LAFAcademy.

3 sites d'accueil :
- Carspach à l’Institut Sonnenberg (LTP):
Un hébergement d’excellence.
- Walbourg :
Séminaire de jeunes au coeur de la forêt de Haguenau.
- Strasbourg :
Centre sportif Hautepierre.

Les Dates 2010 :
Walbourg (Bas-Rhin)
Pension complète :
12 au 17 avril 2010
26 au 31 juillet 2010
02 au 07 août 2010
Directeurs des stages : Caroline FRISON & Lucas IGNATOWICZ

Carspach (Haut-Rhin)
Pension complète :
05 au 10 juillet 2010
12 au 17 juillet 2010
19 au 24 juillet 2010

Demi-Pension :
26 au 30 juillet 2010
Directeurs de stages : Cyril JEHL & Francky CHRISTLEN

Strasbourg (siège de LAFA)
Demi-Pension :
05 au 09 juillet 2010
12 au 16 juillet 2010
19 au 23 juillet 2010
26 au 30 juillet 2010
Directeurs de stages : Joël HEIT & Pierre JACKY

Les stages de foot LAFAcademy sont encadrés d'une équipe d'éducateurs et d'animateurs diplômés.
Les stages commencent le lundi matin à 9h (accueil de 8h à 9h) et se terminent le samedi à 10h par la remise des récompenses (ou le vendredi à 15h pour les stages en demi-pension). Possibilité d'accueil dès le dimanche soir (entre 19h et 21h).

Pour les autres resenseignements, voivi un lien direct : LAFAcademy

(c) LAFA 2010

Nouveau Menu sur le site LAFA : Foot d'animation

Anciennement appelé le « foot éducatif » en Alsace, puis rebaptisé « Football d’Animation » par la Fédération Française de Football, ce terme regroupe la pratique des Pitchounes & Débutant(e)s (foot à 5), Poussin(e)s (foot à 7) et U13 (foot à 9). Ces 4 catégories représentent « l’école de football » de votre club !

Les Pitchounes U6-U7-U8 (enfants né(e)s en 2004 ayant 6 ans révolus, 2003 et 2002) :
- se rencontrent lors de festivals à 6 équipes par groupe
- les équipes (clubs) organisent à tour de rôle, chacun au minimum 1 fois = 5 à 8 plateaux en automne et au printemps
- refonte des groupes au printemps
- les plateaux se déroulent le samedi de 10h30 à 11h30, ou de 14h à 15h
- chaque équipe effectue 2 matches de 2 x 7 mn, et un jeu (Concours conduite-tir) lors de chaque plateau
- lois du jeu spécifiques au foot à 5 (Doc PDF)
- l’organisation des terrains et leur mise en place (Doc PDF)

Les Débutant(e)s U8-U9 (enfants né(e)s en 2002 et 2001) :

- se rencontrent lors de rondes festives à 8 équipes par groupe
- les équipes (clubs) organisent à tour de rôle, chacun au minimum 1 fois = 8 plateaux en automne et au printemps
- refonte des groupes au printemps
- les plateaux se déroulent le samedi de 10h30 à 11h30, ou de 14h à 15h
- chaque équipe effectue un jeu d’accueil (La balle au but) et dispute 2 matches de 2 x 8 mn lors de chaque plateau
- lois du jeu spécifiques au foot à 5 (Doc PDF)
- l’organisation des terrains et leur mise en place (Doc PDF)

Les Poussin(e)s U10-U11 (enfants né(e)s en 1999 et 2000) :

participent à un championnat à 3 niveaux : PH, A et B.

- 6 équipes par groupe
- sous forme de matchs aller-retour, 10 rencontres en automne et au printemps
- rencontres de 2 x 25 minutes
- refonte des groupes au printemps
- lois du jeu spécifiques au foot à 7

Il n’y a pas de classements, pas de montées ni de descentes; l’éducateur choisit le niveau de pratique de son équipe, PH, A ou B.

participent à la Coupe Régionale et à la Coupe d’Encouragement des Poussins.

Les U13 (F) (enfants né(e)s en 1997 et 1998) :

participent à un championnat à 4 niveaux : Excellence, PH, A et B.

- 6 équipes par groupe (12 en Excellence)
- rencontres de 2 x 30 minutes
- championnat de progression entre les niveaux A, PH et Excellence
- l’éducateur choisit le niveau de pratique de son équipe en A ou B
- refonte des groupes au printemps (sauf Excellence)
- lois du jeu spécifiques au foot à 9

participent à la Coupe Nationale et à la Coupe d’Encouragement des U13.

Pour tout renseignement ou information, vous pouvez nous contacter

Les Conseillers Départementaux du Foot d’Animation de la Ligue d'Alsace de Football :
Lucas Ignatowicz (à gauche) pour le Bas-Rhin lucas.ignatowicz@lafa.fff.fr et 03.88.27.95.97
Francky Christlen (à droite) pour le Haut-Rhin francky.christlen@lafa.fff.fr et 03.89.50.78.20

(C) LAFA 2010

Plateau futsal « pitchounettes et graines de championnes »

De plus en plus nombreuses

Pas moins de 60 jeunes filles étaient présentes samedi dernier (20/02/2010) dans la salle de Fortschwihr pour un plateau futsal ayant réuni des graines de championnes et des pitchounettes :
L'équipe d'Espagne chez les pitchounettes.
L'équipe du Brésil chez les pitchounettes.
L'équipe de France chez les pitchounettes.
L'équipe d'Italie chez les pitchounettes.
FC Guebwiller - Graines de Championnes.
Horbourg Wihr - Graines de Championnes.
Oberhergheim A - Graines de Championnes.
Oberhergheim B - Graines de Championnes.
SR Colmar - Graines de Championnes.
Munster - Graines de Championnes.
L'ensemble des équipes ayant participé à ce plateau futsal.

Six équipes « graines de championnes » qui sont désormais rodées puisqu'elles ont participé au festival du même nom à l'automne dernier et vont reprendre le mercredi 3 mars sur les installations d'Oberhergheim pour la journée de rentrée. Mais ce qui a ravi un public venu nombreux, se sont les toutes petites, les pitchounettes (les U7F à U9F, nées de 2001 à 2004). Quatre équipes se sont composées avec des papas ou accompagnateurs qui ont pris au pied levée le « management » de l'équipe. Il n'est pas exclu de proposer ce type de regroupement sur herbe, avec les pitchounettes, dès cette fin de saison et en 2010-2011 de manière plus fréquente.

Les membres de la Commission Régionale de Féminisation venues en nombre (Corinne Benoît, Martine Riss et Martine Hahn) ont pu également informer, les femmes présentes autour du terrain, de l'opération « Mesdames, franchissez la barrière » qui connait un réel succès et dont la formation est programmé le 6 mars prochain.

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