Blog du FC Horbourg-Wihr

mercredi 12 juin 2019

TV et Sports

SFR Sport a ébranlé le paysage audiovisuel en arrachant les droits de diffusion de la Ligue des champions et de la Ligue Europa, l'un des plus prestigieux contrats remis en jeu cette année. Alors que plusieurs contrats se négocient cette année, le point sur les diffuseurs des principales compétitions.
 
FOOT
Ligue des champions et Ligue Europa : SFR de 2018 à 2021
SFR a frappé un grand coup. En investissant 350 M€ par saison selon nos informations, contre 160 M€ pour les contrats en cours, le groupe a remporté l'intégralité des droits de la Ligue des champions et de la Ligue Europa pour la période 2018-2021.
La saison prochaine sera donc la dernière dans le dispositif actuel : l'affiche de C1 du mercredi sur Canal et le reste des rencontres sur beIN Sports, qui est en outre prioritaire lorsqu'un seul club français reste en lice ; un match de C3 sur M6 ou W9, et le reste sur beIN.
Ligue 1 : Canal et beIN jusqu'en 2020
Le contrat de diffusion de la Ligue 1, que se sont partagés Canal+ et beIN Sports pour un montant de 748,5 M€ par saison (incluant la Ligue 2) court jusqu'à la fin de la saison 2019-2020.
Droits TV Ligue 2 (2020-2024) : beIN SPORTS et Mediapro raflent la mise, Canal+ bredouille
Le résultat de l’appel d’offres Ligue 2 et Coupe de la Ligue est enfin connu
Pour rappel, concernant la Ligue 2, les deux cases horaire principales (Samedi 15h et Lundi 20h45) sont maintenues, tandis que le multiplex du vendredi 20h est décalé au samedi 19h, case qui ne sera plus confrontée à la Ligue 1 et censé améliorer l’affluence dans les stades. Lors des journées en semaine, les 10 matchs auront lieu le mardi à 20h.
Voici les 4 lots en vente en détails :
Le lot 1 contient le multiplex du samedi à 19h avec 8 rencontres de choix 3 à 10.
Le lot 2 propose le match du samedi 15h avec 28 choix 1 et 10 choix 2. Il contient également l’ensemble des playoffs et des barrages d’accession/relégation. A noter que les barrages L1/L2 font partie d’un des lots non-pourvus de l’Appel d’offres couvrant la Ligue 1.
Le lot 3 correspond enfin à la case horaire du lundi soir avec, et c’est une nouveauté, 10 Top matchs a choisir sur une saison et 28 choix 2, a l’instar de ce qui se fait pour la Ligue 1.
Le lot 4 propose les magazines en semaine.
Mediapro et beIN SPORTS grands vainqueurs
Un peu à l’image de la Ligue 1, c’est beIN SPORTS et Mediapro qui sont les grands vainqueurs. Mediapro s’adjuge les lots 1 et 4, et diffusera donc les 8 rencontres du multiplex de samedi 19h, tandis que beIN SPORTS récupère les deux autres lots, soient les 2 premiers choix. Les deux diffuseurs paieront 64 millions par saison, soit près du triple comparé aux 22M€ actuels.
Aucun diffuseur pour la Coupe de la Ligue 
Pour la Coupe de la Ligue, un seul lot contenant l’ensemble des rencontres était mis en vente, tandis que le lot 2 se focalisait sur les droits d’extraits et de matchs en différé. Aucun diffuseur ne s’est manifesté, et la Ligue a fait savoir qu’elle allait dorénavant solliciter le marché de gré à gré.
Equipe de France : TF1 et M6 de 2018 à 2022
TF1 et M6 se sont partagés les droits de retransmission des matches de l'équipe de France. L'accord porte sur 40 rencontres, entre les Coupes du monde 2018 et 2022, pour un montant de 3,5 M€ par match (140 M€ d'euros au total).
Coupes du monde : TF1 et beIN
Les deux prochaines Coupes du monde seront visibles sur les antennes du groupe TF1 et sur celles de beIN Sports : le premier a acquis les droits des «28 meilleurs matches» tandis que beIN possède l'intégralité de ces compétitions. Les deux groupes diffuseront en outre la Coupe du monde féminine 2019, qui aura lieu en France.
L'appel d'offres pour l'Euro 2020 pourrait, lui, être lancé d'ici la fin de l'année.
Coupe de France : en attente
La Coupe de France pourrait rester sur France Télévisions et Eurosport, qui auraient de nouveau formulé une offre commune pour la période 2018-2022.
Coupe des confédérations : TMC et SFR
Le groupe TF1 a sous-licencié la compétition au groupe Altice, tout en conservant huit des 16 matches au programme. Ceux-là seront visibles en clair sur TMC.
Premier League : SFR jusqu'en 2019
La requête du groupe français a été acceptée par la ligue anglaise.
On savait depuis plusieurs mois que Canal+, qui a obtenu en novembre dernier l’exclusivité des 3 prochaines saison du football anglais, avait réalisé une demande auprès de la Premier League afin de réaliser une sous-licence d’une partie des rencontres auprès de RMC Sport, diffuseur depuis 2016.
C’est chose faite, puisque le groupe Vivendi vient d’annoncer par voie de presse que Canal+ ne serait pas le seul diffuseur des clubs anglais la saison prochaine et jusqu’en 2022.
Dans les faits, Canal+ et RMC Sport diffuseront l’ensemble des 380 matchs de la Premier League, dont une partie en direct. Les détails n’ont pas été précisés, mais à priori, chaque match en direct sur une chaine le sera également sur l’autre.
Les détails financiers de l’opération ne sont également pas connus. Pour rappel, après l’inflation lors du cycle 2016-2019 et les 120M€ annuels déboursés par RMC, Canal+ a proposé un montant en retrait, autour de 100M€ pour les trois saison à venir. L’addition finale sera donc réduite de moitié chez les deux concurrents.
Mais ce deal pourrait ouvrir la voie à d’autres hypothèses, alors que ces acteurs ne disposeront pas, à priori, de Ligue 1 sur leurs antennes entre 2020 et 2024. Un deal similaire pourrait être envisagé dans l’autre sens, avec la cession de rencontres des coupes UEFA (Ligue des Champions, Europa League) par RMC Sport qui détient encore deux saisons de droits.
Une autre échéance est par ailleurs prévue, avec la mise sur le marché à venir des droits de la Ligue des Champions sur la période 2021-2024. Le calendrier habituel du cycle médias plaide pour un appel d’offres au printemps 2020, mais selon l’Équipe, la France pourrait lancer cette fois-ci les hostilités avec une échéance anticipée à l’automne 2019, du fait de l’arrivée de Mediapro à l’été 2020. Il n’est donc pas inenvisageable que les deux concurrents deviennent alliés face aux prétentions de beIN SPORTS et de Mediapro.
 Après la NBA, la NFL et la MLB, beIN SPORTS renforce son offre de sports US.
beIN SPORTS vient d’acquérir les droits exclusifs de la Major League Soccer (MLS), la ligue nord-américaine de football.
La chaîne sportive diffusera jusqu’à 7 matchs de MLS par semaine en direct sur ses différentes antennes. A chaque journée de championnat, deux affiches seront diffusées en direct sur beIN SPORTS 1, 2 ou 3 tandis que les autres matchs seront proposées sur les canaux beIN SPORTS Max avec des commentaires en version originale.
La MLS rejoindra la NBA, la NFL et la MLB dans les rendez-vous dédiés aux sports US de beIN SPORTS : le Grand Zap US chaque dimanche et l’émission digitale beINSIDE USA.
Les abonnés pourront suivre les tribulations de Zlatan Ibrahimovic, Wayne Rooney, Bacary Sagna ou encore Romain Alessandrini.
beIN SPORTS devient le troisième diffuseur de la MLS en France après Sport+ (2004 – 2006 ; 2010 – 2014) et Eurosport (2007 – 2008 ; 2015 – 2018).
 
RUGBY
Top 14 : Canal jusqu'en 2023
Le groupe Canal, qui a souvent insisté sur l'importance de diffuser des «feuilletons», a conservé les droits de retransmission du Top 14 jusqu'en 2023. Le montant du contrat sur la période 2019-2023 est de 97 M€ par saison.
Coupes d'Europe : en attente
Les droits de diffusion des Coupes d'Europe de rugby pour la période 2018-2022 pourraient être bientôt mis sur le marché. Avant qu'il ne s'offre celles de foot, on prêtait l'intention à SFR de miser sur ces compétitions, lui qui diffuse déjà les tests-matches de l'Angleterre. Les droits sont actuellement la propriété de beIN (Coupe d'Europe) et Canal (Challenge) avec quelques matches sur France Télévisions, dont les deux finales, ce week-end.
Coupe du monde : TF1 et...
TF1 détient les droits de la Coupe du monde 2019 mais pourrait ne pas diffuser l'intégralité de la compétition, dont les horaires seront en outre contraignants pour la chaîne. En 2015, elle avait cédé une partie des matches à Canal+. La Coupe du monde féminine, en août prochain, sera retransmise, elle, sur France TV et Eurosport.
 
CYCLISME
Trois groupes se partagent l'essentiel du cyclisme : L'Equipe, qui diffuse en ce moment le Tour d'Italie et, France Télévisions et Eurosport. Le groupe public a reconduit son contrat avec ASO jusqu'en 2025 pour la diffusion du Tour de France, mais aussi de Paris-Nice, Paris-Roubaix, de la Flèche Wallonne ou du Dauphiné, entre autres.
La chaine L'Equipe a, elle, changé de braquet cette saison avec notamment Milan-San Remo et donc, en ce moment, le Giro, qui sera sur les antennes du groupe jusqu'en 2020. Mais aussi Tirreno-Adriatico, Gand-Wevelgem, le Tour de Lombardie, pour, au total 30 événements de la saison en clair.
Mais aussi sur la chaine L'Equipe...
Outre le cyclisme, la chaine L'Equipe propose ou a proposé cette année les Championnats du monde de judo, la Fédérale 1 de rugby (jusqu'en 2021), les Mondiaux de ski freestyle et snowboard, le Championnat du monde de rallycross, ainsi que des matches de Coupe d'Europe de handball, notamment.
Elle a, enfin, reconduit jusqu'en 2022 son contrat de diffusion de la Coupe du monde de biathlon pour accompagner le numéro un mondial Martin Fourcade jusqu'aux prochains Jeux olympiques et, si ce n'est lui, ses successeurs dans les années suivantes.
 
FORMULE 1
Canal jusqu'en 2020 : la chaîne cryptée a conservé cette année les droits acquis en 2013. A l'époque, Canal avait récupéré la F1 pour un montant de 29 M€ par saison (auxquels il faut ajouter une vingtaine de millions de frais de production).
 
TENNIS
beIN Sports est le principal diffuseur avec les droits du circuit WTA de 2017 à 2021, les tournois ATP 250 et 500, Wimbledon (jusqu'en 2018), les Masters 1000 (sauf Monte-Carlo et Bercy), et la Coupe Davis et la Fed Cup.
Eurosport diffuse cette année les trois autres Grands Chelems (Open d'Australie jusqu'en 2021), dont Roland-Garros que diffuse également France Télévisions (jusqu'en 2018). Le service public propose aussi les matches des équipes de France (jusqu'en 2019). Canal a les droits des Masters 1000 de Monte-Carlo et Bercy. SFR a quelques tournois de second rang.
 
ATHLETISME
Détenteur des droits de l'athlétisme français, SFR a acquis l'année dernière ceux de la Diamond League pour trois saisons, de 2017 à 2019. Seul lui échappe le meeting Herculis de Monaco, avec lequel Canal+ a un accord jusqu'en 2020.
 
JEUX OLYMPIQUES
A un peu plus d’un an de la compétition planétaire, les intentions de Canal+ concernant les Jeux Olympiques ne seraient pas certaines.
C’est une information plutôt inattendue que dévoile le quotidien L’Équipe dans son édition du jour. Le groupe Canal+ souhaiterait en effet se débarrasser de certains droits déjà acquis.
On connaissait l’existence d’une demande de rétrocession de certaines rencontres de Premier League à RMC Sport afin d’alléger la facture ou d’obtenir une contrepartie telle que des matchs de Ligue des Champions. Au sujet des Jeux Olympiques qui auront lieu à l’été 2020 à Tokyo, ce seraient principalement les importants coûts de production relatifs à l’évènement qui justifieraient la décision.
Des coûts de production jugés trop chers
Il faut dire que la diffusion de nombreux sports en simultané implique la mobilisation de l’intégralité de la rédaction et des services techniques durant deux semaines, avec par ailleurs une diffusion de nuit pour une fin des épreuves en milieu de l’après-midi. A cela s’ajoutent les importants frais de transports. Une raison implicite pourrait également être la volonté du groupe de se positionner sur l’Euro 2020 qui aura lieu quelques semaines plus tôt et nécessitera également d’importants moyens de production du fait des nombreux lieux de compétition.
Pour rappel les droits des JO 2020 font partie d’un ensemble de 4 éditions, entre 2014 et 2020, acquises en 2011 par le groupe France Télévisions pour un montant total estimé à 140M€ à l’époque. L’entité publique a conservé l’exclusivité des Jeux hivernaux de 2014 et 2018 mais a souhaité en 2015 dans une logique d’économie sous-licencier les éditions 2016 et 2020. Canal+ avait alors acquis ces droits, pour un montant inconnu.
Qui pourrait-être intéressé ?
Quelques semaines plus tard, le groupe Discovery, qui détient Eurosport, annonçait la signature d’un contrat à l’échelle européenne auprès du CIO. Contre un chèque global de 1,3 milliard d’euros, le groupe devenait le diffuseur principal des jeux sur le continent entre 2018 et 2024. En France, le deal ne concerne que les éditions 2022 et 2024. Il y a deux semaines, France Télévisions a obtenu auprès de Discovery les droits exclusifs en clair de ces deux compétitions, dont la très attendue édition 2024 de Paris, pour un montant tenu secret.
Dans la démarche du groupe Canal, Eurosport fait donc figure de favori, bien que chaque dépense demeure sous-pesée au sein de la chaine, comme dans l’intégralité d’un secteur extrêmement fragmenté. Cependant, la France est le seul territoire européen sur lequel les droits de cette édition ne sont pas acquis pour le groupe. Par ailleurs, des investissements sont déjà prévus pour assurer une couverture francophone sur Eurosport Belgique. Des économies d’échelle sur place seraient également possibles, rendant la dépense plus intéressante.
L’autre acquéreur qui pourrait être intéressé est beIN SPORTS, qui en 2012 avait diffusé les compétitions de sports collectifs.
Du fait de l’importance du dispositif à mettre en œuvre, une revente devra se faire rapidement, pour permettre au diffuseur payant de se préparer correctement, alors que l’avenir du pôle sports de Canal+, dépourvu de Ligue 1 et Ligue 2 entre 2020 et 2024, s’écrit toujours plus en pointillés au fur et à mesure qu’approche l’échéance.
Le groupe public sera le seul diffuseur en clair des Jeux Olympiques de Pékin 2022 et Paris 2024.
France Télévisions a obtenu l’exclusivité des droits télévisuels en clair des Jeux Olympiques de Pékin en 2022 et de ceux de Paris en 2024. Le groupe public a conclu un accord de sous-licence avec le groupe Discovery, qui avait acquis en juin 2015 les droits exclusifs des JO 2018 à 2024 en Europe pour 1,3 milliard d’euros.
Diffuseur historique des Jeux Olympiques, le groupe France Télévisions mobilisera toutes ses antennes pour ne rien manquer de l’événement. Comme c’est le cas depuis de nombreuses éditions, toutes les compétitions seront diffusées sur France 2 et France 3. En complément de l’offre linéaire, le groupe créera une chaîne dédiée sur le numérique.
C’est un coup dur pour TF1 et M6 qui espéraient obtenir une partie des JO qui se dérouleront à Paris en 2024. Si l’acquisition de l’ensemble de la compétition ne permettrait pas la rentabilité pour ces acteurs, certaines compétitions et certains rendez-vous comme la cérémonie d’ouverture vont assurément réaliser de remarquables scores d’audience. En 2012, TF1 avait ainsi anticipé des Jeux Olympiques à Paris en s’offrant la diffusion exclusive des deux cérémonies. Depuis Londres et à 22 heures, le rendez-vous avait intéressé près de 9 millions de téléspectateurs. Dans le même temps, le diffuseur hôte avait réalisé un score digne d’une finale de Coupe du Monde avec 22 millions de britanniques devant la BBC.
3000h d’épreuves sur Eurosport
Eurosport, propriété de Discovery, diffusera l’intégralité des épreuves sur ses différentes antennes. En plus des chaînes Eurosport 1 et Eurosport 2, la groupe annonce au Parisien qu’il créera des chaînes événementielles dédiés à chaque discipline.
Dans les négociations avec France Télévisions, Discovery a conservé une exclusivité : la diffusion de chacune des épreuves en direct et en intégralité sur sa plateforme numérique. Seuls les abonnés d’Eurosport auront accès à cet avantage.
Discussions plus tard pour les Jeux Paralympiques
De son côté, le comité d’organisation de Paris 2024, détenteur des droits des Jeux Paralympiques, a annoncé que les discussions pour les droits TV de la compétition handisport auront lieu dans un second temps.

 
 
 
(C) FCH 2019
 

mardi 11 juin 2019

Marché aux Puces du FCH

Le FC Horbourg organise son traditionnel Marché aux Puces le dernier dimanche du mois d'août qui tombe cette année le dimanche 25 août : Document à télécharger pour l'imprimer si vous voulez participer à cette manifestation !
avec son Règlement intérieur :































(C) FCH 2019


Grand Méchoui FCH

 
Le Football-Club de Horbourg-Wihr vous propose une manifestation conviviale et festive le samedi 06 juillet 2019 au club-house :
 




























(C) FCH 2019

Barbecue de fin de saison U18-Vétérans-Seniors


























(C) FCH 2019

samedi 8 juin 2019

Coupe du Monde 2019 Féminine : Les Bleues sont bien lancées

(Reuters)


Grâce notamment à un doublé de Wendie Renard, l’équipe de France a remporté le match d’ouverture de la Coupe du monde féminine contre la Corée du Sud (4-0), vendredi soir, dans un Parc des Princes conquis.
 
L’équipe de France féminine n’a eu aucun mal à remporter le match d’ouverture de "sa" Coupe du monde, contre la Corée du Sud (4-0), vendredi soir, dans l’ambiance bon enfant du Parc des Princes. Si Corinne Diacre expliquait la veille qu’une victoire n’était pas "primordiale" pour cette entrée en lice, l’issue du match ne pouvait pas être différente. Les Bleues n’ont jamais été inquiété par une formation asiatique particulièrement faible, notamment avec le ballon, et elles tomberont sur beaucoup plus fort par la suite...

 
Le match étant déjà gagnée, les Bleues ont manqué l’occasion de parfaire certains automatismes lors d’une seconde période bien calme. Kadidiatou Diani, la numéro 9 de l’équipe, n’a pas été mise en position de marquer et Valérie Gauvin, écartée du onze pour un retard à l'entraînement , a été lancée en pointe lors des 20 dernières minutes. Une belle frappe lointaine de l’incontournable Amandine Henry a quand même permis à l’équipe de France d’aggraver le score (85e). Ce sera plus compliqué lors des deux prochaines rencontres de poule, contre la Norvège puis le Nigeria.


Analyse des reporters d'équipe

Emmanuelle Hingant (FRA)
Les Françaises n'auraient pas pu rêver mieux comme entame de tournoi. Quatre buts marqués, aucun encaissé, un stade plein, une ambiance de fête et trois points dans la besace pour le début de "leur" tournoi. Amandine Henry a été impeccable a milieu de terrain et a agrémenté son match d'un but splendide (à la Thierry… Henry !) tandis que la défenseuse centrale Wendie Renard - la joueuse la plus grande de cette Coupe du Monde - a marqué deux têtes sur corners. Les Bleues vont pouvoir préparer tranquillement leur deuxième match à Nice contre la Norvège, elles sont dans les meilleures conditions. Leur premier contrat est rempli..

Hounche Chung (KOR)
Les Coréennes rêvaient certainement d'un premier match bien différent. Ce soir à Paris, les joueuses ont semblé nerveuses, parfois même pétrifiées. Leur baptême du feu dans cette Coupe du Monde Féminine n'a pas été de tout repos et l'écart de niveau entre les deux formations était tout simplement trop important pour être comblé. Le score final va sans doute marquer durablement les esprits coréens, mais les Asiatiques vont devoir se remettre rapidement en selle car il reste des matches cruciaux à disputer pour se relancer dans la course à la qualification.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
(C) Sports.fr-FIFA 2019

Coupe du monde 2019 : combien gagnent les joueuses de football ?

(IN)ÉGALITÉ - Les footballeuses gagnent en moyenne 96% moins que leurs homologues masculins. Malgré le développement du football féminin, les inégalités en matière de salaire entre les joueuses et les joueurs restent vertigineuses. Sans compter les écarts criants entre joueuses selon les clubs.

Le même maillot, la même passion mais pas le même salaire. Ce n'est un secret pour personne : les footballeuses gagnent beaucoup moins d'argent que les footballeurs. Malgré une augmentation du montant des droits TV et l'implication grandissante des sponsors, les ressources économiques tirées du football féminin demeurent largement inférieures au foot masculin. Selon une étude de l'Observatoire des inégalités en 2017, dont les chiffres ont été confirmés à LCI, les femmes touchaient 96% de moins que les hommes. Dans les autres secteurs, ce chiffre - encore trop élevé - tombait à 22% (18,5% en 2019).

Ainsi, en France, Ada Hegerberg, joueuse la mieux payée de D1, et par extension de tout le football féminin, avec 400.000 euros brut par an à l'OL, gagne environ 100 fois moins que Neymar, joueur le mieux payé de Ligue 1 avec 36 millions d'euros brut annuels au PSG. Avec 3.069.520 euros brut mensuels, soit environ 100.000 euros par jour, il ne faut donc que quatre jours au Brésilien pour supplanter le salaire annuel de la première Ballon d'Or, que l'on ne verra pas fouler les pelouses françaises cet été

Rémunérée 360.000 euros brut par an du côté de l'Olympique lyonnais, la capitaine tricolore Amandine Henry se classe juste derrière Ada Hegerberg et devant une autre Bleue et Lyonnaise, en la presse de Wendie Renard (348.000 euros). Au pied de ce podium 100% gone, la milieu de terrain américaine de Manchester City Carli Lloyd est payée 345.000 euros par saison. La Brésilienne Marta, longtemps restée la joueuse la mieux payée de la planète foot, ferme ce top 5 avec 340.000 euros à la clé. 

De gros écarts d'une joueuse à l'autre

En France, d'un point de vue juridique, aucune joueuse n'est considérée comme professionnelle à proprement parler, contrairement aux hommes qui signent un contrat avec leurs clubs respectifs, et sont liés à la Ligue de football professionnel (LFP). Les filles dépendent de la Fédération française de football (FFF) et sont sous "contrat fédéral", similaire à celui des amateures. Néanmoins, dans les faits et en dépit de cette notion juridique, elles agissent toutes comme si elles étaient professionnelles.

Ainsi, toutes les footballeuses, en D1 notamment, ne sont pas logées à la même enseigne. Cela dépend de leur statut. D'une joueuse à l'autre, d'un club à l'autre, les écarts de salaire peuvent être très importants. Si les meilleures peuvent toucher plusieurs dizaines de milliers d'euros par mois, en France, le salaire mensuel moyen d'une footballeuse est de 2.494 euros brut, indique à LCI la Fédération française de football (FFF). À mille lieues des 108.422 euros brut mensuels touchés en moyenne en Ligue 1, selon L'Équipe.

Des disparités qui existent aussi entre clubs. Dans les grandes formations du championnat (Lyon, PSG, Montpellier, Paris FC), les joueuses perçoivent en moyenne 4.000 euros brut par mois. Dans les autres équipes de l'élite, elles gagnent entre 1.500 et 3.000 euros brut mensuel. À ce salaire s'ajoute, parfois, des primes de match que la FFF évalue à environ 150 euros par rencontre gagnée, des subventions ou des primes dites exceptionnelles, par exemple en cas de participation à une Coupe du monde. 

D'après une étude réalisée en 2017 par Sporting Intelligence, spécialisé dans l'économie et la finance du sport, la D1 est cependant la troisième ligue sportive féminine la plus rémunératrice au monde (derrière la WNBA, la Ligue américaine de basket, et la Super Netball australienne). En moyenne, les footballeuses qui évoluent dans le championnat français sont rémunérées 42.188 euros brut par an. Plus surprenant, elles gagnent mieux leur vie que les joueuses américaines, payées en moyenne 23.301 euros par an dans un pays où le "soccer" est pourtant implanté depuis de très nombreuses années maintenant.

L'équité salariale, le combat de tou(te)s

Il n'empêche que la question des disparités salariales agite de plus en plus de fédérations. Pas plus tard qu'en mars dernier, aux États-Unis, l'équipe nationale féminine a intenté un procès pour "discrimination sexiste institutionnalisée" contre sa Fédération deux ans après avoir déposé une première plainte contre l'US Soccer pour l'égalité des chances entre les sexes. À l'époque, grâce à leur mobilisation, elles avaient obtenu gain de cause avec une augmentation de 30% et de meilleures conditions de voyage.

Meilleures que leurs homologues masculins, qui n'ont jamais fait mieux qu'un quart en 2002, les triples championnes du monde ont formulé une plainte concernant non seulement les salaires, les primes ou encore les conditions de travail, inférieurs aux footballeurs américains. Les voilà engagées dans un nouveau match dans leur combat pour l'équité en matière d'emploi calquée sur le modèle scandinave, précurseur dans ce domaine. En octobre 2017, après une grève de sa sélection féminine, vice-championne d'Europe, appuyée par l'équipe masculine, la Fédération norvégienne avait acté que les joueuses gagneraient désormais autant que les hommes qui ont accepté, en échange, de réduire leur gratification.






















© Yohan ROBLIN – LCI 2019

jeudi 6 juin 2019

Accessions – Relégations District 1 à 9


COMMISSION SPORTIVE SENIORS DE DISTRICT
Configuration « Compétitions »
Accessions – Relégations District 1 à 9
Saison 2018/2019
Situation au 05/06/2019

 

 

 

 District 1 :
Accessions en Régionale 3 : 12 équipes
Les 6 Champions : Butten Usidv 1 – Mundolsheim AS 1 – Dahlenheim FC 1 - Kaysersberg SR 1 – Wintzfelden-Osenbach 06FC 1 – Brunstatt FC 1
Les 6 seconds : Reipertswiller US 2 – Schirrhein FCE 2 – Eschau FC 1 - Guémar AS 1 – Meyenheim FC 1 – Koetzingue ASL 2

 Relégations en District 2 : 12 équipes
Les 2 derniers de chaque groupe : Phalsbourg FC 1 – Saverne FC 2 – Eschbach FC 1 - Oberroedern-Aschbach Ent. 1 – Lipsheim OC 1 - Furdenheim SR 1 – Sermersheim AS 1 – Racing HW 96 2 – Rixheim AS 1 – Mulhouse Azzurri 1 - Seppois FC 1 – Raedersdorf AS 1

 
 District 2 :
Accessions en District 1 : 12 équipes
Les 7 Champions : Strasbourg Kronenbourg 2 – Scheibenhard FC 1 – Schirmeck AS 1 - Mussig AS 1 – RouffachFC 1 – Richwiller FCRS 1 – Huningue AS 2
Les 5 meilleurs seconds : Mothern-Munchhausen Ent. 1 – Preuschdorf-Langensoultzbach Ent. 1 - Oberhausbergen FC 1 – Pulversheim USFC 1 – Epfig UJSF 1

 
Relégations en District 3 : 14 équipes
Les classées 2 dernières de chaque groupe : Waldhambach CS 1 – Alteckendorf FC 1 – Steinseltz FC 2 – Kilstett AS 1 – La Wantzenau FC 1 - Breuschwickersheim FC 1 – Westhouse AS 1 – Gerstheim AS 1 – Ober-Niederentzen AS 1 - Riquewihr FCI 1 – Roderen FC 1 – Wittenheim US 3 (FG) – Steinbrunn FC 1 – Tagsdorf FC 1

 
District 3 :
Accessions en District 2 : 14 équipes
Les 8 Champions : Hochfelden AS 2 – Seebach AS 1 – Strasbourg Musau AS 1  - Dachstein US 1 – Bindernheim FC 1 – Fessenheim FC 2 - Wittenheim ASTR 1 – Village Neuf FC 1
Les 6 meilleurs seconds : Brumath SS 1 – Turckheim AS 1 – Matzenheim FC 1 - Hagenthal-Wentzwiller FC 2 – Vieux Thann ASB 2 – Niedernai AS 1

 
Relégations en District 4 : 16 équipes
Les 2 derniers de chaque groupe : Wimmenau US 1 – Wingen sur Moder AS 1 – Niederschaeffolsheim FC 1 – Soufflenheim FC 1 - Schnersheim FC 1 – Nordheim-Kuttolsheim AS 1 – Strasbourg Stockfeld 1 – Heiligenstein AS 1 - Racing HW 96 3 – Sigolsheim AS 1 – Gundolsheim FC 1 – Gunsbach-Zimmerbach US 1 - Baldersheim FC 2 – Mulhouse 90AS 1 – Hirtzbach FC 2 – Hausgauen AS 1

 
District 4 :
Accessions en District 3 : 16 équipes
Les 9 Champions : Schillersdorf AS 1 – Hinterfeld AC 1 – Seltz FC 2 - Strasbourg Olympique 2 – Still 2 – Marckolsheim AS 1 - Colmar Portugais FC 1 – Mulhouse Real CF 2 – Muespach-Folgensbourg All. 1
Les 7 meilleurs seconds : Ohlungen AS 2 – Bernardswiller CS 1 – Elsenheim AS 1 - Oltingue FC 1 – Bischwiller Turcs US 2 – Dingsheim-Griesheim AS 1 - Mulhouse Mouloudia 2

 
Relégations en District 5 : 18 équipes
Les classées 2 dernières de chaque groupe : Monswiller FC 1 – Oermingen FC 1 – Dambach Neunhoffen FC 1 – Dauendorf FC 1 – Forstfeld AS 1 - Rohrwiller FC 1 – Achenheim EB 2 – Wangen-Westhoffen FC 1 – Grendelbruch FC 1 - Dorlisheim SR 1 – Wittisheim FC 1 – Ingersheim FC 2 – Colmar ASCF 1 – Colmar US 2 - Mulhouse RC 2 – Mulhouse Lusitanos 1 (Exclu) – Tagolsheim AS – Walheim FC 1 (FG)

 
District 5 :
Accessions en District 4 : 19 équipes
Les 10 Champions : Harskirchen CSI 1 – Soultz-ss-Forêt-Kutzenhouse Ent. 2 - Walhenheim-Bernolsheim AS 1 – Nordhouse US 2 – Strasbourg Neuhof CS 3 - Huttenheim US 1 – Ostheim-Houssen FC 2 – Sentheim FC 2 - Bollwiller FC 1 – Hésingue US 2
Les 9 meilleurs seconds : Kaysersberg SR 2 – Hunspach AS 2 – Hohengoeft AS 1 - Gries FC 1 – Mundolsheim AS 2 – Thann FC 1 - Mulhouse ASRS 2 – Val de Moder FA 2 – Sélestat FC 2

 
Relégations en District 6 :
Bennwihr FC 3 (FG)*

 
* Une équipe 2, 3 ou 4 classée à la dernière place d’un groupe de District 5 est reléguée en District 6 (Art 25.b des RD), à l’exception du groupe E de District 5, ce dernier étant composé exclusivement d’équipes « réserves », ce point règlementaire ne s’applique pas.

 

Pour les divisions District 6 à District 9 (Ex Pyramide B) les accessions et relégations sont appliquées selon les départements comme le prévoit la composition des groupes.

 
District 6 ; Bas-Rhin :
Accessions en District 5 : 4 équipes
Les 4 Champions : Dettwiller SC 2 – Hoerdt AS 2 - Strasbourg Olympique 3 – St Pierre Bois-Triembach au Val ASC 2

 
Relégations en District 7 : 8 équipes
Les classées 2 dernières de chaque groupe : Willgottheim AS 2 – Eschbach FC 2 – Betschdorf AS 2 – Bischheim Soleil FC 3 - Ernolsheim-Molsheim ES 5 – Strasbourg UC 2 – Heiligenstein AS 2 – Sermersheim AS 2

 
District 6 ; Haut-Rhin :
Accessions en District 5 : 4 équipes
Les 4 Champions : Niederhergheim FC 2 – Aspach le Haut AS 2 - Richwiller FCRS 2 – Hirsingue US 2

 
Relégations en District 7 : 8 équipes
Les classées 2 dernières de chaque groupe : Sigolsheim AS 2 – Andolsheim AS 2 – Rouffach FC 2 – Ungersheim FC 2 - Baldersheim FC 3 – Pfastatt FC 3 (FG) – Seppois Ebs 2 – Hégenheim FC 3

 
District 7 ; Bas-Rhin :
Accessions en District 6 : 12 équipes
Les 8 Champions : Uhrwiller AS 2 – Gundershoffen ASP 3 – Niederlauterbach FC 2 - Pflugriesheim AS 2 – Eckbolsheim FC 3 – Strasbourg Red Star 2 - Plobsheim CA 2 – Kintzheim RC 2
Les 4 meilleurs seconds : Trois Maisons US 2 – Schweighouse sur Moder FC 3 - Seebach AS 2 – Obernai FCSR 3

 
Relégations en District 8 : 16 équipes
Les classées 2 dernières de chaque groupe : Bouxwiller US 2 – Waldhambach CS 2 – Hinterfeld AC 2 – Schaffhouse sur Zorn FC 2 - Schoenenbourg-Memmelshoffen FR 2 – Hatten AS 2 – Schiltigheim Espagnols AS 2 - Schirrhein FCE 4 – Hangenbieten US 2 – Strasbourg Hautepierre AFJ 2 – Avolsheim FC 2 (FG) - Molsheim-Ernolsheim ES 6 (FG) – Fegersheim CS 3 – Westhouse AS 2 (FG) - Elsenheim AS 2 – Artolsheim FC 2

 
District 7 ; Haut-Rhin :
Accessions en District 6 : 12 équipes
Les 8 Champions : Munster AS 3 – Fessenheim FC 3 – Gundolsheim FC 2 - Mulhouse Real CF 3 – Zillisheim SS 3 – Traubach FC 2 - St Louis Neuweg FC 3 – Obermorschwiller FC 2
Les 4 meilleurs seconds : Grussenheim FC 2 – Meyenheim FC 3 - Heiteren FC 2 – Guéwenheim AS 2

 
Relégations en District 8 : 16 équipes
Les classées 2 dernières de chaque groupe, 3 équipes dans le groupe M car 3 forfaits généraux, ce qui entraîne le repêchage du meilleur avant dernier : Sigolsheim AS 3 (FG) – Obersaasheim-Vogelgrün Ent. 1 – Colmar ASCF 2 (FG) – Vallée Noble AS 2 - Ungersheim FC 3 (FG) – Oberhergheim FC 2 – Bantzenheim FC 3 (FG) – Mulhouse ASRS 3 (FG) - Vieux Thann ASB 3 (FG) – Mulhouse Azzurri 3 (FG) – Montreux Sports 3 – Sentheim FC 3 - Zimmersheim USZE 2 – St Louis Bourgfelden AS 3 (FG) – Tagsdorf FC 2 – Raedersdorf AS 2 (FG)

 
Repêchage en District 7 : 1 équipe
Le meilleur avant-dernier (sauf groupe M) : Thannenkirch FC 1

 
District 8 ; Bas-Rhin :
Accessions en District 7 :
11 Champions : Harskirchen CSI 2 – Ohlungen AS 3 – Woerth AS 2 – Oberhoffen FC 2 - Herrlisheim FC 3 – Duntzenheim ASL 2 – Strasbourg AS 3 - Strasbourg Neuhof 4 – Schirmeck AS 2 – Herbsheim FC 2 – Albé US 1
Le second du groupe I : Krautergersheim FC 3
Montées supplémentaires règlementaires : Mommenheim US 2 – Schleithal US 3 – Wolfisheim ES 2 - Heidolsheim US 1 – Wimmenau US 2 – Weitbruch FC 3 - Strasbourg Musau AS 2 – Routzenheim SR 2

 
Relégations en District 9 : 25 équipes
Les classées 2 dernières de chaque groupe 3 équipes dans le groupe I car 3 forfaits généraux : Wingen sur Moder AS 2 – Rehtal AS 2 – Mulhausen FC 2 – Kindwiller FC 3 - Drachenbronn Birlenbach Ent. 2 – Dambach Neunhoffen FC 2 (FG) – Forstfeld AS 2 - Leutenheim AS 2 – Rohrwiller FC 2 – Offendorf ES 2 – Waldowisheim FC 2 (FG) - Monswiller FC 2 (FG) – Brumath SS 2 – Hoenheim SR 3 (FG) – Wolxheim CS 2 - Ernolsheim-Molsheim ES 7 (FG) – Strasbourg InterMeinau 3 (FG) – Ostwald FC 3(FG) - Hindisheim US 3 (FG) – Mutzig AS 3 – Grendelbruch FC 2 – Zellwiller SR 3(FG) – Sand FC 2(FG) - Maisonsgoutte SC 2 – Chatenois AS 2 (FG)

 
District 8 ; Haut-Rhin :
Accessions en District 7 :
Les 8 Champions : St Hippolyte AS 1 – Hirtzfelden FC 4 – Buhl FC 3 – Bollwiller FC 2 - Cernay SC 3 – Richwiller RCRS 3 – Illfurth FC 3 – Rosenau FC 3
Montées supplémentaires règlementaires : Turckheim AS 3 – Pfaffenheim AS 3 – Hattstatt AS 1 – Cernay FC Ent. 2 - Mulhouse RC 3 – Didenheim AS 2 – Hausgauen AS 2 – Horbourg Wihr FC 3 - Wettolsheim FC 3 – Meyenheim FC 4 – Kruth-Oderen Ent. 2 - Wittenheim ASTR 3 – Hochstatt AS 3

 
District 9 ; Bas-Rhin :
Accessions en District 8 :
Les 9 Champions : Diedendorf FC 1 – Schillersdorf AS 2 – Hunspach AS 3 - Seltz FC 3 – Pfettisheim ES 3 – Strasbourg Olympique 4 - Duppigheim USL 3 – Lipsheim OC 3 – Schoenau AS 3
Montées supplémentaires règlementaires : Dossenheim sur Zinsel FC 3 – Oberhoffen FC 3 – Surbourg US 2 - Kurtzenhouse AS 2 – Strasbourg Elsau Portugais 4 - Blaesheim ASC 2 – Bernardswiller CS 2 – Hilsenheim FC 2 - Weiterswiller AS 1 – Wintershouse AS 2 – Soultz ss Forêt-Kutzenhausen Ent 3 - Scheibenhard FC 3 – Ohlungen AS 4 – Strasbourg Egalité 2 - Schirmeck AS 3 – Rhinau FC 3 – Breitenbach FC 1 - Quatzenheim FC 2 – Harskirchen CSI 3 – Sélestat FC 3 - Schiltigheim-Bischheim Ecrivains 3

 

 

 

Bilan établi sous réserve :
- D’homologation des résultats enregistrés
- Des procédures règlementaires ou disciplinaires en cours ou à venir
- De validation du classement fair-play

 

 

 

La Commission Sportive Seniors du District Alsace






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