Blog du FC Horbourg-Wihr

lundi 29 mars 2010

40 ans ce lundi

C’est ce lundi 29 mars 2010 qu’on fête officiellement le 40e anniversaire de la création du foot féminin en France :
Photo : La FFF a conçu un logo pour le 40e anniversaire de l’officialisation du foot féminin en France.


Non pas qu’il ait fallu attendre le 29 mars 1970 pour assister aux premières rencontres féminines, certaines s’étant déjà déroulé avant guerre, mais il s’agit de la date à laquelle le Conseil Fédéral de la FFF a autorisé la pratique féminine et l’a rendue officielle. Le premier match de l’équipe de France féminine a eu lieu, quant à lui, le 17 avril 1971, avec un succès sur les Pays-Bas. Pour fêter cet anniversaire, la FFF a conçu un logo et prévu une grande fête qui aura lieu le 23 mai prochain à Evry-Bondoufle en banlieue parisienne. Sur le même terrain auront lieu les finales du Challenge de France féminin et de la coupe nationale des U15, le tout en présence d’Adriana Karembeu, qui « marraine » la manifestation.
 
Marraine de la fête des 40 ans du football féminin, Adriana Karembeu s'est encore engagée plus durablement pour cette cause, en tant qu'ambassadrice du football féminin. Comme telle, celle-ci sera amenée à se rendre à des matches, des rassemblements de masse, des événements en région, des visites de clubs ou d'écoles de football au féminin. Son message portera sur l'intérêt de la pratique féminine et de la nécessité d'intégrer les femmes dans toutes les structures et à tous les niveaux :


Toutes les internationales depuis 1971 seront également invitées à cette journée.

(C) LAFA 2010 - Stéphane Heili

mercredi 17 mars 2010

Candidature Française pour Euro 2016

Tous ensemble pour l'EURO 2016 à Strasbourg !

Alle zusammen für die EURO 2016 in Straßburg !


 

 
(C) LAFA-FFF - 2010


Sport et régions, l’heure des comptes

Les élections régionales sont l‘occasion d‘un éclairage porté sur les 442 millions d’euros que dépensent annuellement les 22 régions de métropole dans le domaine du sport. Un panorama où l’Alsace se distingue…
Le sport est peu présent dans la campagne des régionales. Quelques mots par-ci par-là permettent d’aborder ou plutôt d’effleurer le sujet dans les programmes et les déclarations. « Mettre en place avec les territoires une politique ambitieuse de développement des pratiques sportives avec de nouveaux équipements et un appui aux clubs » ou « Un développement de la pratique culturelle et sportive » lit-on par exemple dans les programmes des deux listes que les sondages placent en tête en Alsace. Et le ban est fermé. Pourtant, les 22 régions françaises de métropole dépensent annuellement près de 442 millions d’euros dans le sport. Certes, cela ne représente que 1,71 % de la dépense sportive publique, loin des collectivités locales (68,73 %) et de l’Etat (24,17 %) mais leur progression est forte. L‘Association des Cadres Territoriaux du Sport des Conseils Régionaux (A.C.T.S.C.R.) qui recense les chiffres tous les deux ans fait état d‘une progression de 16 % entre 2005 et 2007 de ces dépenses directes (les chiffres 2009 sont encore en cours de collecte). Elles augmentent toutefois légèrement moins que les budgets globaux des régions. Dans le détail, 70 % des dépenses sportives des régions sont liées aux compétences spécifiques qui leurs ont été accordées : éducation, formation - emploi et aménagement du territoire. Ainsi 38% vont à l’aménagement du territoire, soit plus de 167 millions d’euros, 22 % aux lycées soit 98 millions d’euros et 10% à la formation et au développement de l’emploi, soit 44 millions.

55 % des dépenses pour les investissements

Le solde de 30 %, soit 132 millions d’euros, relève du soutien au sport fédéral et regroupe les aides aux ligues et comités, à la filière sport de haut niveau et aux clubs. S’y ajoutent les aides à la pratique de masse, le soutien aux manifestations, la santé et l’ensemble promotion - études - colloques. En considérant les 442 millions en terme de répartition entre investissements et fonctionnement, 244,5 millions d’euros vont aux premiers, dont 220 millions pour les équipements sportifs (en augmentation de 36,8 millions par rapport à 2005) et 197,5 millions d’euros au second. L’aide au sport fédéral se taille la part du lion du fonctionnement avec 118,6 millions d’euros devant l’ensemble éducation - emploi - formation avec 69 millions d’euros. Montants totaux et ventilations (entre investissements et fonctionnement et par postes) varient fortement d’une région à l’autre. Pour une région comme l’Ile de France qui dépense 55,2 millions d’euros pour le sport (4,77 euros par habitant, 1,37 % du budget total), l’Alsace n’en dépense que 5,94 millions (3,25 euros par habitant et 0,77 % du budget). Les autres régions les plus généreuses pour le sport sont PACA avec 47,15 millions (9,79 euros /hab) ou encore la Picardie avec 32,8 millions (17,38 euros /hab et 3,60 %). Le Grand Est a plus de retenue sur le sujet, la Champagne fermant la marche (8,56 millions d’euros soit 6,41 euros /hab) avec la Franche-Comté (7,6 millions et 6,58 euros /hab) et notre région. L’Alsace se singularise aussi par l’accent mis sur le fonctionnement (84 % du budget) et donc la faiblesse du financement des équipements (16%) et en étant la première en France par l’importance accordée aux clubs dans les dépenses de fonctionnement (68 %). Rhône-Alpes ne leur accorde que 5 %.

L’Alsace se singularise

Et la région rhénane sort du lot français en n’accordant que 48 % de ses investissements aux équipements sportifs. Dans cinq régions dont l‘Auvergne, la Franche-Comté et l’Ile-de-France, cette proportion est de 100%. Avec un tissu associatif très dense, regroupant plus de 5 000 associations sportives et plus de 450 000 licenciés, l'Alsace se situe parmi les régions les plus sportives de France. Cela explique le soutien appuyé aux clubs évoqué précédemment. Pour 2010, la politique sportive du Conseil régional d’Alsace s'articule autour de deux axes majeurs : la promotion de la pratique sportive et tout particulièrement du sport de haut niveau, dont l'objectif est d'accompagner les meilleurs clubs et athlètes évoluant en Alsace (progression mais aussi reconversion) et l’aménagement sportif via le soutien à certains équipements spécialisés de secteur. Ainsi 4,32 millions d‘euros seront consacrés à cette politique. La promotion de la pratique se décline d’une part en une aide à cinquante ligues et comités régionaux au moyen de conventions quadriennales (sports olympiques et paralympiques) et de conventions biennales (sports non olympiques affinitaires ou assimilés et de loisirs) pour un budget de près de 470.000 euros. La Ligue d’Alsace de Football bénéficie d’une convention quadriennale de 20 000 euros par an visant à soutenir la formation des techniciens et dirigeants, la participation aux compétitions nationales et la détection et l’éveil à la pratique sportive.

Soutien aux manifestations et aux équipements

En outre, un budget de 400 000 euros est consacré au soutien à quelque 100 manifestations sportives exceptionnelles ou de dimension internationale dans tous les sports, sur proposition des ligues et comités sportifs régionaux concernés. L’aide se décline par ailleurs par le soutien au sport de haut niveau. Cent clubs sont aidés chaque année, dont huit clubs de football de D2 féminine, de CFA et de CFA 2 masculine (mais pas les clubs de futsal dont la discipline n’est pas reconnue par la Région Alsace), pour 1,4 millions d’euros ainsi que des athlètes (90 athlètes pour un total de 200.000 euros). S‘y ajoute l’accompagnement des formations qui évoluent dans l’excellence et dans un environnement « professionnel » : le RC Strasbourg Football, la SIG Basket-Ball et l’ASPTT Mulhouse Volley-Ball féminin pour un total de 693.000 euros. Côté aménagement sportif du territoire, la Région a budgété 1,1 million d’euros cette année pour aider au financement d’équipements, dont le Centre d’entraînement et de formation pour la natation à Mulhouse.

Une ligne supplémentaire s’ajoutera en cas de modernisation du stade de la Meinau pour l’Euro 2016. Si la France est retenue bien sûr.

Le budget de la Région Alsace

Le budget total pour 2010 du Conseil Régional d’Alsace s’élève à 778 millions d’euros. Il est réparti en trois grands ensembles : transports, éducation et formation et économie et développement. Les principaux postes sont les transports TER avec 144 millions d’euros, les lycées avec 116 millions d‘euros, le fonctionnement courant avec 80,5 millions d‘euros. Suivent les infrastructure avec 70,8 millions, la formation professionnelle et l’apprentissage, qui relèvent de l’ensemble « éducation et formation » (où apparaît un sous-ensemble culture et sport) avec respectivement 65,2 millions et 63,7 millions d‘euros. Côté recettes, 62,6 % viennent de l’Etat, 17,6 % de l’emprunt et 14,4 % de la fiscalité.

Le fameux millefeuille français

La France est championne du monde de l’empilement administratif aussi appelé millefeuille. Aux collectivités locales que sont les communes et les intercommunalités en pleine croissance (communautés de communes, d’agglomération ou urbaines) s’ajoutent les collectivités territoriales, c’est-à-dire le département (et son découpage en cantons) et la région. Sans compter, ce qui se profile : les pays (plusieurs com com) et maintenant les métropoles. Les collectivités locales et territoriales subviennent pour 32 % de la dépense sportive totale en France, l’Etat pour seulement 10,2 % et les ménages pour 50,7 %. La Région représente 0,72 % de cette dépense et 1,7 % de la part publique.

En Lorraine

Cette année, la Région Lorraine a budgété les dépenses sportives suivantes : aides aux ligues via une convention annuelle pour 1,59 million d‘euros, soutien aux clubs de haut niveau, hors professionnels mais y compris aides aux centres de formation des clubs pros (soit 180 000 euros pour le FC Metz et l’ASNL et 110 000 euros pour le club de basket nancéen) pour 2,72 millions d‘euros, soutien aux athlètes de haut niveau (en pôle lycée et CREPS en Lorraine ou ailleurs si nécessité) pour 285 000 euros et soutien à 9 clubs pour 372 000 euros. L’aide à la formation au BE s’élève à environ 460 000 euros.

Chez nos voisins

En Allemagne et en Suisse, le rôle sportif du Land et du Canton sont clairement définis. Outre Rhin, le sport relève du ministère de l’éducation, de la jeunesse et des sports du Land de Bade-Wurtemberg. Ce dernier est chargé de la promotion du sport de haut niveau et de masse en lien avec les ligues et les clubs, de la collaboration avec les écoles supérieures de sport, les écoles et les clubs et du soutien financier à la construction d’équipements. En Suisse, le canton de Bale Ville possède un service cantonal des sports dont les missions sont de promouvoir le sport sous toutes ses formes et à tous les niveaux de pratique en tant que vecteur d'une meilleure santé et pour de meilleures relations entre les personnes, favoriser la coordination entre les divers acteurs en harmonisant notamment les relations entre la Confédération, l'Etat, les communes, les écoles, les associations, les offices fédéraux et le canton, assurer toutes les tâches du canton en relation avec Jeunesse et Sport et informer.

Joël Hoffstetter

(C) LAFA 2010

Un objectif sur cinq ans

Guy Ferrier, membre de la Direction Technique National de la FFF, était à Strasbourg le 4 mars dernier pour expliquer le plan de développement du foot féminin aux élus de la Ligue et aux clubs :
Photo : Guy Ferrier, ici avec Sandrine Ringler, cadre technique féminine de la LAFA, est venu expliquer le plan de développement du foot féminin en Alsace.

L’ancien sélectionneur attaquait à Strasbourg son 18e déplacement en province. Le premier, il l’avait effectué le 7 septembre dernier en Bourgogne. C’est dire que Guy Ferrier attaque au pas de charge sa mission d’information sur le plan de développement du foot féminin et le projet de féminisation du foot français. « Mon discours de départ a déjà beaucoup évolué parce qu’il tient compte de tout ce que j’entends lors de mes déplacements, de tout ce que peuvent me dire les clubs ou les élus des ligues », explique le membre de la DTN qui avoue aussi que « les freins sont encore très nombreux. Les mentalités ont du mal à changer en France et ce n’est pas seulement vrai qu’en matière de foot féminin ».

Développer le foot de masse

Le 8 mars dernier, à l’occasion de la « Journée de la femme », la FFF a reçu le trophée « Femmes dans le sport » des mains de la secrétaire d’état aux sports, Rama Yade. Ce trophée récompense chaque année la fédération qui fait un effort notable en direction du développement de la pratique féminine. Ce même jour a été lancée la campagne de communication avec différents films visibles sur le net et pour lesquels Adriana Karembeu a offert son talent et sa notoriété. Il s’agira là de la partie visible d’un iceberg qui doit bousculer durablement les mentalités du foot français. « Le foot féminin a quarante ans en France, mais il est toujours resté dans son isolement. On a fait de l’élitisme et cela ne marche pas trop mal, on le voit avec les résultats des équipes de France. Il faut désormais imposer l’idée que les filles ont le droit de jouer entre elles dès leur plus jeune âge », poursuit Guy Ferrier.

Objectif chiffré

A l’image de l’opération « Graines de championnes » menée en Ligue d’Alsace depuis plusieurs saisons, l’idée générale est de tendre à la pratique féminine et au plaisir partagé entre filles. « La mixité a eu des aspects positifs, mais ce n’est pas une fin en soi. Souvent la fille se retrouvait isolée notamment parce qu’elle ne pouvait pas bénéficier des joies du vestiaire avec ses coéquipiers », explique Guy Ferrier. « Auparavant, on voyait tout de suite la différence entre une fille qui évoluait en mixité et une autre qui ne jouait qu’avec des filles, aujourd’hui, ce n’est plus le cas, je le vois au niveau des sélections pour la coupe nationale », ajoute Sandrine Ringler, cadre technique féminine de la Ligue d’Alsace. Si la FFF affichait souvent un chiffre de 60 000 licenciées, la réalité était en deçà et le chiffre actuel se situe plutôt entre 45 et 50 000 licenciées. « Je suis persuadé qu’on peut atteindre le cap de 80 000 licenciées en cinq ans », affirme Ferrier. Pour y parvenir, la première étape a été la reforme des compétitions avec la suppression de la D3 et l’arrivée d’un challenge national des U19. Le plan s’appuie sur une pratique de masse au niveau des régions et des départements mais aussi sur la structuration des clubs d’une élite resserrée avec des contraintes supplémentaires. Le statut de la « joueuse fédérale » va forcément améliorer encore le niveau de pratique et le niveau d’exigence des joueuses. « On a déjà des clubs très structurés comme Lyon, Montpellier, mais aussi le PSG ou Juvisy, d’autres suivent comme St-Etienne, d’autres encore sont intéressés comme Marseille ou Monaco. Et en Alsace, il faudra certainement aussi passer par là, intéresser le Racing et sortir de la guerre des clochers.

On y arrivera ! » Voilà qui sonne comme un slogan.

Stéphane Heili

(C) LAFA 2010

jeudi 11 mars 2010

Soirée Loto



Le FC Horbourg-Wihr 1933 organise le vendredi 02 avril (vendredi saint) 2010 à 20h 30 sa soirée Loto à la salle polyvalente à Horbourg.



Voir l'affiche ci-dessous pour à plus de précisions :

Annulation Soirée Paella

C'est avec regret que le FC Horbourg-Wihr 1933 vous annonce que la soirée Paella a été annulée mais vous invite le vendredi 02 avril 2010à 20h 30 à sa soirée Loto !

mercredi 10 mars 2010

Place aux femmes !

Alsace Foot cette semaine consacre sa UNE aux femmes et à la place qu'elles occupent au sein du foot français, qu'elles soient joueuses, dirigeantes, éducatrices ou arbitres. Retour sur l'Assemblée Générale de la LFA samedi dernier à Paris et sur la Coupe d'Alsace. L'actualité du futsal avec la visite de Henri Emile en début de semaine et les quarts de finale de la Coupe Nationale qui auront lieu ce samedi. Gros plan de la Région Alsace et des autres régions françaises pour un éclairage sur leurs investissements dans le domaine du sport. La LAFAcademy qui propose pour la première fois un stage en demi-pension, à l'occasion des congés scolaires de Pâques et comme toutes les semaines, le Bulletin Officiel du football alsacien :

Photo : Le foot français s'interroge sur la place des femmes, aussi bien les joueuses, ici le match Masevaux - Rossfeld de dimanche dernier, que de celui des dirigeantes et cadres du football.

Deuxième match de préparation

Après le premier match de préparation face à la Lorraine qui s’est soldé par une victoire 3-2 pour les alsaciennes, un deuxième match de préparation aura lieu contre la sélection U15F de la Franche Comté à Niederhergheim, le mercredi 17 mars à 15h30. Voici la liste des joueuses sélectionnées (nées en 1995/1996) :
Rappelons que les Franc-Comtoises se sont qualifiées lors de la dernière Coupe Nationale des Ligues. La rencontre se déroulera sur le terrain en herbe de Niederhergheim à 15h30, le rendez-vous est à 9h15 directement au stade. Un entraînement aura lieu en matinée avant le repas sportif pris ensemble au club house local.
14 joueuses ont été retenues pour ce match, merci de s’assurer que quelqu’un puisse véhiculer les joueuses, et veillez à ce qu’elles se munissent de leur équipement complet de football, notamment de leur chaussure de foot (moulés et vissés), ainsi que de leur pièce d’identité valide et leur fiche médicale dûment remplie pour celles qui ne l’auraient pas encore ramenée.

R-V pour l’ensemble des joueuses suivantes, le mercredi 17 mars 2010 à 9h15 au stade de Niederhergheim :
(A.S. 1921 MUNSTER) SUSIN MARGAUX
(A.S. MUSSIG) VIDAL MARINE
(A.S. RAEDERSDORF) KOCH JULIETTE
(A.S. SUNDHOFFEN) BOESCH MARINE
(C.S. MARS 05 BISCHHEIM) GEORGE LAETITIA
(C.S. MARS 05 BISCHHEIM) YILDIRIM JULIDE
(F.C. MASEVAUX) LESCALLIEZ HELENE
(F.C. ST FLORENT OBERHASLACH) GOEPP MELODIE
(F.C. ROSSFELD) SCHILLINGER JUDITH
(F.C. VENDENHEIM) BECK AMELIE
(F.C. VENDENHEIM) CAMPOS MARINE
(F.C. VENDENHEIM) LENTZ MANON
(F.C. VENDENHEIM) WIOLAND LEA
(F.C.E. SCHIRRHEIN) DANIZEL DIANA

Dislocation prévue à 18h30, après le pot qui aura lieu à l'issue de la rencontre.

Prière de prévenir impérativement Sandrine Ringler à la Ligue en cas d’indisponibilité (précisez la raison) ou blessure au 06.08.86.38.40 ou sandrine.ringler@lafa.fff.fr.

40 ans du football féminin : top départ officiel

Au Musée national du Sport, Rama Yade, Secrétaire d'Etat chargée des Sports a décerné ce lundi le Trophée national « Femmes et Sport » à la FFF, en le remettant officiellement à l'Alsacienne Marilou Duringer, membre du Conseil Fédéral (photo). Retrouvez quelques clichés de cette cérémonie qui a marqué, à l'occasion de la Journée de la Femme, le coup d'envoi officiel de la fête des 40 ans du football féminin :

Photo : Rama Yade au côté de deux figures emblématiques du football français, Bernadette Constantin, représentant le football féminin au CA de la LFA et Marilou Duringer, membre du Conseil Fédéral qui s'est vu remettre le Trophée

« Femmes et Sport » récompensant la meilleure stratégie ou action menée par une fédération en matière de féminisation des postes à responsabilités et/ou développement de la pratique féminine.

Réactions suite à la cérémonie :
Duringer : "Ce Trophée récompense beaucoup de travail"
Pour son plan d'action quadriennal 2008-2012 en faveur du développement du football féminin, la FFF a reçu lundi des mains de la Secrétaire d'Etat aux Sports Rama Yade (photo, face à Marilou Duringer, devant Jean-Pierre Escalettes) le trophée Femmes et Sports. Pour la Journée de la Femme, cette cérémonie a également été l'occasion de donner le coup d'envoi de la célébration des 40 ans du football féminin français. Retrouvez quelques-unes des interventions effectuées au Musée du Sport Français.
Rama Yade, Secrétaire d'Etat aux Sports
"Ce concours Femmes et Sports est d'autant plus important que les femmes n'occupent toujours pas en 2010 la place qu'elles méritent dans le sport français. Elles ne représentent qu'un tiers des licenciés dans l'ensemble des fédérations sportives. 54 fédérations sportives ont même moins de 25% de licenciées. Cette sous-représentation se retrouve également dans les instances dirigeantes : seulement 8 femmes sont aujourd'hui présidentes de fédérations."
Bernadette Constantin, membre du CA de la LFA
"Je pense que toutes les fédérations travaillent dans le même sens : boxe ou football, il faut simplement que les filles sachent qu'elles ont le choix. Je remercie Fernand Duchaussoy de m'avoir nommée vice-présidente de la LFA en me demandant de représenter la femme dans le football."

Marilou Duringer, membre du Conseil Fédéral
"Ce Trophée "Femmes et Sports" va nous porter bonheur, j'en suis sûre. Il récompense beaucoup de travail et je tiens à souligner tous les efforts effectués au sein des Ligues et des Districts."
Adriana Karembeu, marraine de la fête des 40 ans du football féminin et également ambassadrice du football féminin
"J'ai un lien particulier avec le football via mon mari et j'ai vécu des moments extraordinaires grâce à ce sport. Mais j'ai découvert que ce sport si médiatisé, souffre d'une image réductrice dès qu'il est pratiqué par des femmes. Je suis heureuse d'avoir l'opportunité de faire passer le message que le football féminin est un trésor à valoriser. C'est une pratique d'où sont absentes la violence et la tricherie, tout en gardant une grande élégance technique."

Jean-Pierre Escalettes, président de la FFF
"Dans l'histoire du football féminin en France, un premier match est répertorié en 1917. De 1910 à 1933, les clubs parisiens mettent en place une compétition de clubs, avant qu'en 1940, le régime de Vichy ne déclare le football nocif pour les femmes. Après-guerre, la pratique connaît un essor, notamment en Alsace. Mais il a fallu attendre le 29 mars 1970 pour que, sous l'impulsion de Jacques Georges, président de la FFF, le Conseil Fédéral de la FFF reconnaisse officiellement le football féminin. On compte alors 2170 licenciées et des pionnières, telles que Marilou Duringer, aujourd'hui membre du Conseil Fédéral. Et aujourd'hui, environ 90.000 femmes s'investissent dans le football, soit dans la pratique, soit dans un rôle de management ou d'accompagnement.

Le trophée "Femmes et Sport" est un moyen de mettre en lumière des actions souvent confidentielles ou peu relayées par les médias, lesquels ne recherchent souvent que du "sensationnel" ou du décalé. "Femmes et Sports" est une fenêtre pour faire connaître son sport, et surtout les valeurs qu'il véhicule."

Fernand Duchaussoy, président de la LFA
"2010 doit être plus que jamais l'année du football féminin car il y a urgence. Nous avons beaucoup de retard sur des nations telles que la Norvège ou l'Allemagne, avec son million de licenciées. Nous avons tous notre part de responsabilité dans ce constat. Pour le rassemblement de la Journée des Bénévoles, ce serait un symbole fort si nous avions une parité hommes - femmes parmi les 1000 dirigeant(e)s qui seront présents.

D'ici-là, la journée dédiée à cette fête des 40 ans (dimanche 23 mai 2010 à Evry-Bondoufle) promet d'être un grand moment avec la finale de la Coupe Nationale U15, un match de gala, la finale du Challenge de France Féminin et une grande exposition sur les temps forts de l'histoire du football féminin."

Gérard Houllier, DTN
"A la DTN, nous avons fixé un objectif de 200.000 licenciées dans dix ans. Un entraîneur national (Guy Ferrier) a la charge du développement de la masse. Dans les Ligues, des cadres d'Animation Techniques Régionaux Féminins (CATRF) s'y consacrent entièrement. Des clubs et des équipes vont naître et vite gravir la hiérarchie. Il y a même un club dont les filles ont déjà atteint le dernier carré de l'UEFA Champions League avant leurs homologues masculins ! (ndlr : l'Olympique Lyonnais).

Une des priorités de la DTN est donc d'élargir la base de la pyramide. Concernant l'élite, nous sommes actuellement 9èmes au classement féminin de la FIFA ce qui est un signe de bonne santé. Les "A" ont d'ailleurs été quarts de finalistes de l'Euro 2009 et sont en tête de leur groupe des éliminatoires du Mondial 2011."
Photo : De gauche à droite, Anne Christelle Fogliani, Présidente et animatrice de la Commission Fédérale de Féminisation, Adriana Karembeu, la marraine de cette démarche de féminisation du football français, Erny Jacky, membre de cette même commission et Directeur Général de la Ligue d'Alsace de Football, une ligue pionnière dans ce domaine et Marilou Duringer, membre du Conseil Fédéral.


(C) FFF-LAFA - 2010

mardi 9 mars 2010

Journées découvertes pour les U11F

Ce mercredi 10 mars sera l'occasion de rassembler toutes les jeunes filles nées en 1999 afin de les informer sur la pratique du football et pour qu'elles puissent se retrouver et s'exercer entre elles. Rendez-vous à Illkirch et à Wittenheim :
- R-v à 14h15 pour les Bas-Rhinoises sur le stade synthétique de la Schlossmatt à Illkirch-Graffenstaden.
- R-v à 14h15 pour les Haut-Rhinoises sur le stade en herbe de Wittenheim, Cité Sainte Barbe, 10 Rue de la 1ère Armée Française (et non à Ruelisheim comme initialement indiqué)

Olivier Teissere

(C) LAFA - Le lundi 08 mars 2010 - 16h15

lundi 8 mars 2010

Pour vous, les visuels Euro 2016 !

Pour relayer l'opération "Cliquez pour la France" auprès de vos amis et de toutes vos connaissances, vous pouvez télécharger et mettre en ligne sur votre site web les visuels de promotion (logo officiel, badge, affiche, publicités pour votre blog ou site internet) de la campagne web "candidature de la France à l'organisation de l'UEFA Euro 2016". Faites votre choix et servez-vous !

Tous les visuels, y compris le logo officiel de la candidature, sont à diriger directement vers l'adresse du site officiel de la candidature française http://tousensemble2016.fff.fr/

Les visuels promotionnels (y compris ceux du concours de dessin) à télécharger (format zip) : Visuels promotionnels de la candidature UEFA Euro 2016

Profitez-en également pour installer votre signature de mails aux couleurs de la candidature française à l'UEFA Euro 2016.

Soyez - vous aussi - acteur et actrice de la candidature de la France, cliquez pour la France et faites cliquer tous vos amis...

(C) FFF - 2010

jeudi 4 mars 2010

« Temps mort », si on se lançait ?


 
La Ligue d’Alsace lance une expérimentation sur le « temps mort » au niveau des poussins sur la phase retour. Une première étape avant la généralisation ?
Vincent Voegtlin
Photo : Le temps mort est habituel dans bien des disciplines, comme ici le basket avec Jamel Benabid et les Mulhousiens, mais pas au foot où l’expérience sera tentée ce printemps chez les poussins.

L’idée avait été lancée par l’équipe technique de la Ligue d’Alsace lors du recyclage annuel des éducateurs alsaciens en août dernier à Benfeld. Depuis, elle a fin du chemin et va entrer, à l’occasion de la phase retour dans une phase expérimentale. Une soixantaine d’équipes du Haut-Rhin et un groupe entier de Poussins promotion du Bas-Rhin vont tester le dispositif. « Il s’agira d’un temps mort qu’on appelle « technique » d’une minute et chaque équipe peut en demander un au cours de chaque mi-temps », explique Francky Christlen, conseiller départemental du foot d’animation du Haut-Rhin. Pour le demander, l’éducateur fera le signe « T » avec ses mains en s’adressant à l’arbitre, à condition que son équipe soit en possession de la balle. « L’objectif est clairement pédagogique et technique et c’est pour cela que nous le testons au niveau du foot d’animation. L’éducateur peut s’en servir pour réexpliquer une notion, mais aussi, par exemple, pour valoriser ses joueurs qui viendraient de réaliser parfaitement un exercice vu à l’entraînement dans la semaine. C’est vu comme un outil supplémentaire à sa disposition ». Du bilan de fin de saison dépendra l’extension à la totalité de la catégorie à la rentrée prochaine, voire une éventuelle extension aux U13 par exemple.

L’expérience des autres

Le football n’est pas, loin s’en faut, le seul sport où la notion de « temps mort » n’existe pas. On le connaît dans le handball, le basket, le volley, le football américain, le tennis de table (uniquement en double) et dans le …futsal. Pour Jean-Luc Le Gall, entraîneur du club de hand de Sélestat et ancien CTR, « le temps mort est devenu un outil très important » dans sa discipline où il n’a été introduit qu’en 2001 avec un temps mort par mi-temps, réclamé à l’aide d’un carton vert adressé à la table de marque lorsque son équipe est en possession du ballon. « Nous avions déjà beaucoup de leviers sur le banc en handball avec la possibilité de changer autant de joueurs qu’on le souhaite, mais le temps mort est venu s’ajouter à l’arsenal. On s’en sert pour casser la dynamique positive de l’adversaire, mais on tente surtout de le conserver pour ce qu’on appelle le « money time », la fin de rencontre où tout se joue. On sait qu’au meilleur niveau, un match peut basculer sur un changement tactique », explique Jean-Luc Le Gall. « Chez les petits, c’est davantage pédagogique. Je trouve que c’est intéressant que le foot s’y mette aussi. Je pense que chez les plus jeunes, cela peut aussi permettre de limiter l’influence de l’environnement des enfants sur le terrain de foot, je pense notamment aux parents par exemple ».

Un temps mort par quart temps

Au basket, l’usage du « temps mort » est devenu une réelle habitude. Un match sans « temps mort » serait un véritable ovni, surtout à un certain niveau. L’entraîneur de basket dispose, chez les seniors, de cinq « temps mort » dans son match, deux pour la première mi-temps, trois pour la seconde. « Il est demandé par l’entraîneur lors de n’importe quel arrêt de jeu ou à la suite d’un panier encaissé », précise Isabelle Firmann, conseillère technique fédérale du comité du Haut-Rhin de basket. « Chez les amateurs, il permet de recadrer un aspect tactique ou de gérer aussi la fatigue en fin de match. A haut-niveau, on voit les entraîneurs le conserver pour la fin de match et la gestion d’une action clef par exemple. Il permet aussi de briser l’élan positif de l’adversaire ». Le comité du Haut-Rhin a étendu l’usage du « temps mort » aux plus jeunes. Dès le « baby basket » et chez les poussins, il existe un « temps mort » par quart temps. « Là l’utilisation est moins systématique, surtout lorsqu’une équipe domine de la tête et des épaule. Je trouve que ça ne peut être qu’une bonne chose pour les plus jeunes au football, notamment pour recadrer un aspect tactique ».

Question de culture

Handballeurs et basketteurs ne sont pas le seuls à utiliser le « temps mort ». Certains footballeurs ont également la possibilité de l’utiliser, à raison d’une fois par mi-temps et par équipe. Mais contrairement aux deux autres disciplines, son usage est loin d’être systématique, surtout lorsqu’on sort du haut-niveau international. Il est fréquent de voir un match de championnat national futsal s’achever sans qu’aucun des deux entraîneurs n’ait demandé la moindre pause. « C’est vrai que ce n’est pas dans la culture du footballeur », explique Rodolphe Lopez, l’entraîneur du Sporting Paris Futsal, l’un des meilleurs clubs français actuellement. « Il y aussi le fait que beaucoup d’entraîneurs sont aussi joueurs et qu’il n’est pas évident de gérer le tout. A titre personnel, je trouve c’est un outil vraiment intéressant, surtout dans une passe difficile lorsqu’on encaisse une série. Cela permet de stopper l’hémorragie, de remotiver, de replacer. En futsal, le temps mort permet également un temps de récupération au plan physique. Je l’utilise parfois lorsqu’on part avec un effectif court. Une minute de récupération, c’est important ». Seul bémol pour le technicien du Sporting Paris, « le fait qu’il faille passer par l’arbitre et attendre le prochain arrêt de jeu. Cela peut parfois être long. Je trouve que l’utilisation du temps mort chez les poussin en extérieur ne peut avoir que des aspects positifs.

Pour ce qui est de l’étendre à toute la discipline, je suis sceptique, le football a ses habitudes et du mal à les changer ».

Stéphane Heili

(C) LAFA - 2010

Jeu Concours Euro2016

Candidature Euro 2016

"Dessine le foot comme tu l'aimes !"

Dans le cadre de la candidature de la France à l'Euro 2016, la FFF organise un concours de dessin, ouvert en France à tous les enfants de moins de 13 ans sur le thème du football, depuis le lundi 4 janvier jusqu'au mardi 16 mars 2010 inclus. Le dessin sélectionné paraîtra dans le quotidien l'Equipe et sera affiché, au côté de ceux des 79 autres lauréats, lors d'une exposition sur les grilles du Stade de France. A vos feutres !

Pour participer, rien de plus simple !
1. Téléchargez ce formulaire de participation, et aussi le règlement complet. La FFF enverra également un kit de participation aux mairies des douze villes candidates, qui le transmettront aux écoles primaires, centres aérés et clubs de football de jeunes.

2. Dessinez, au format A3 (29,7cmx42cm), le football comme vous l'aimez.

3. Renvoyez votre dessin (non plié) et votre formulaire de participation à l'adresse suivante : Grand Jeu "Concours de Dessins Euro 2016 - Dessine le Foot comme tu l'aimes", Touche Etoile N° 06707 - BP 10707 - 59063 Roubaix CEDEX 1. Celui-ci comprend l'autorisation d'utilisation de votre oeuvre Votre envoi devra être adressé avant le mardi 16 mars 2010 inclus, le cachet de la poste faisant foi.

4. Découvrez lors de la deuxième quinzaine de mars si vous êtes le lauréat du Grand Prix ou l'un des vainqueurs du 2ème au 80ème prix. Le verdict du jury sera dévoilé en avant-première sur fff.fr !


(C) FFF.fr

mercredi 3 mars 2010

RCS-ANGERS: LE MATCH DES FEMMES !

Ce vendredi soir, à quelques jours de la Journée de la Femme, le Racing met les femmes et toutes les supportrices à l'honneur. Le RCS invite gratuitement toutes les femmes souhaitant assister à cette rencontre. Plein d'animations sont d'ailleurs prévues à destination des supportrices du Racing.

Toutes à la Meinau, vendredi, pour soutenir le RCS !!!

LES FEMMES INVITÉES

Ce vendredi soir, et pour célébrer à sa manière la Journée de la Femme, le lundi 8 mars, le RCS invite gratuitement toutes les supportrices à venir assister à la rencontre face à Angers.

Les femmes, jeunes et moins jeunes, peuvent retirer leur(s) place(s) à la Billetterie du Racing, au Stade de la Meinau et dans les points de vente Super U.

Elles peuvent aussi venir accompagnées, puisqu'un tarif préférentiel est réservé à leur accompagnant: 5€ en tribune Est.

ÉLECTION DE LA REINE D'UN SOIR

A l'occasion de ce Match des Femmes, le Racing a lancé, sur la page Facebook de la Boutique du Club, l'élection de la Reine d'un soir. Les supportrices sont invitées à envoyer leur photo par mail et à inviter leurs amis à voter pour elles.

L'élue se verra offrir une croisière pour 2 personnes au Portugal, d'une valeur de 2000€. Elle aura aussi le privilége d'assister à l'échauffement des joueurs en bord de pelouse.

DAVID ZITELLI A LA MEINAU

Ancien chouchou des supportrices de la Meinau, David Zitelli sera présent au Stade ce vendredi soir. Il donnera le coup d'envoi fictif de la rencontre avant d'assister au match en tribune.

Zitelli sera aussi sollicité en début de match, puisqu'il remettra la récompense à la Reine du soir.

lundi 1 mars 2010

Un site dédié aux gestes qui sauvent

Alors que débute une grande campagne nationale de sensibilisation aux gestes qui sauvent en cas d'arrêt cardio-respiratoire, un nouveau site permet de s'informer sur les premiers secours.


Ouvert depuis lundi, le site http://www.foot-gestespourunevie.com/ , dont la page d'accueil reprend le visuel de l'opération, est l'un des outils de communication développés pour promouvoir cette initiative des différents acteurs du football, mais aussi et surtout pour offrir un véritable espace pratique et interactif à ses utilisateurs.

Ceux-ci pourront notamment y trouver le contenu des formations proposées, à destination des professionnels et des amateurs, et le bulletin d'adhésion téléchargeable (pour les amateurs). Un espace "presse" est également accessible aux médias.

Découvrez la vidéo de la campagne nationale